À l’échelle individuelle, le travail est source d’épanouissement pour l’individu, tant par la satisfaction apportée et les réalisations personnelles que par les contacts humains et la sécurité financière qu’il apporte. Depuis vingt ans, de nombreux progrès ont été faits pour humaniser les conditions de travail : fin du taylorisme, autonomie, enrichissement des tâches, 35 heures. Or, malgré cela, surviennent au sein des équipes des maux exprimés sous forme d’insomnie, d’anxiété, de maux de dos, de troubles musculo-squelettiques (TMS), de troubles digestifs ou psychosomatiques, de dépressions et parfois même de harcèlement moral. Le travail conduit alors à une déstabilisation de la santé mentale.

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Vol 2006 - N° 0022

P. 22-24 - janvier 2006 Retour au numéro

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