Maladies cardio-vasculaires : que connaissent les Français de leur épidémiologie ? - 19/06/08
Jean-Christophe Malot : journaliste
pages | 3 |
Iconographies | 0 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Ce genre d’alertes peut aller plus loin, selon une démarche originale, par exemple : depuis une vingtaine d’années, quelle est l’évolution de la perception et des connaissances des Français sur les facteurs de risque des maladies cardio-cérébro-vasculaires ? Les connaissances épidémiologiques, dirions-nous, ont-elles favorisé une extension du savoir, ou bien existe-t-il encore des plages d’ignorance ? Pourquoi sonder les connaissances épidémiologiques des Français ? Parce qu’on se bat mieux contre ce qu’on connaît mieux : les MCV restent encore aujourd’hui la première cause de morbi-mortalité avec annuellement 180 000 décès, 120 000 infarctus, 130 000 accidents vasculaires cérébraux (un quart mortels et 50 % générateurs de séquelles).
Plan
© 2005 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
Vol 2005 - N° 0010
P. 16-18 - avril 2004 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?