Grippe aviaire, pandémie : facteurs de risque pour l’homme ? - 19/06/08
Jean-Christophe Malot
pages | 2 |
Iconographies | 0 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
La peur de la pandémie à virus H5 N1 a alimenté les médias en 2005. Un précédent a été oublié : la grippe aviaire de 2003 aux Pays-Bas, à virus A H7 N7, plus infectieux pour l’homme que H5 N1 et transmissible entre humains. Selon l’ECDC (Centre européen de maîtrise des maladies, Stockholm), H5 N1 est très différent, ne semble affecter l’homme que rarement et sa transmission interhumaine est même plus rare. En 2003, les sujets contaminés étaient ceux chargés de la maîtrise de l’infection et leurs familles. Face à la panique médiatique, il faut poser 5 questions fondamentales à propos de H5 N1*.
Plan
© 2006 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
Vol 2006 - N° 0011
P. 37-38 - avril 2004 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?