Acute low single dose of apomorphine reduces periodic limb movements but has no significant effect on sleep arousals: a preliminary report - 01/01/03
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Résumé |
Study objectives. - To investigate the effects of apomorphine on the frequency of periodic limb movements during sleep (PLMS) and on sleep architecture.
Design. - Nine patients presenting PLMS (including eight patients with restless legs syndrome) underwent three consecutive night sleep recordings. They received a single dose of 0.5 mg subcutaneous apomorphine at bedtime the third night.
Results. - When computing PLMS during four 2-h periods of sleep, a significant period by apomorphine-effect was demonstrated, with a marked reduction of PLMS during the first 4 h post-injection (P < 0.01). No significant differences were found in sleep macroarchitecture between the three recorded nights, excepted a slight reduction in sleep latency during the third night (P < 0.05). Despite the decreased number of PLMS after apomorphine injection, there were significant changes neither in the total number of arousals nor in the index of arousals per hour of sleep.
Conclusion. - Our results add further support to the dopaminergic hypothesis in the generation of PLMS. The persistence of arousals suggests that they are not simply the consequence of PLMS but a primary phenomenon, not related with the dopaminergic system.
Résumé |
Objectifs. - Investiguer les effets de l'apomorpohine sur les mouvements périodiques des jambes au cours du sommeil (MPJS) et sur l'architecture du sommeil.
Méthodes. - Neuf patients présentant des MPJS ont eu 3 enregistrements polysomnographiques consécutifs. Lors de la troisième nuit ils ont reçu une dose de 0,5 mg d'apomorphine sous-cutanée.
Résultats. - Après injection d'apomorphine nous avons constaté une diminution importante de l'index de MPJS. Cette diminution était spécialement marquée lors des 4 premières heures qui ont suivi l'injection. L'architecture du sommeil n'a pas été modifiée de façon significative, à part un discret raccourcissement de la latence d'endormissement. Malgré la diminution du nombre de MPJS après injection d'apomorphine, nous n'avons pas constaté de diminution significative du nombre ou de l'index de micro-éveils.
Conclusion. - Les résultats de cette étude confirment l'hypothèse dopaminergique dans la physiopathogénie des MPJS. La persistance de micro-éveils suggère que ceux-ci ne sont pas simplement la conséquence des MPJS mais plutôt un phénomène primaire, non lié au système dopaminergique.
Mots clés : Apomorphine ; Periodic limb movements ; Arousal.
Mots clés : Apomorphine ; Mouvements périodiques des jambes ; Micro-éveil.
Plan
Vol 33 - N° 4
P. 180-184 - septembre 2003 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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