Imagerie moderne de la maladie de Crohn - 04/06/09
Résumé |
Objectifs |
Connaître la place des différentes techniques d’imagerie au cours de la maladie de Crohn (MC).
Connaître les formes évolutives.
Connaître l’impact des descriptions lésionnelles en imagerie sur la thérapeutique.
Rédiger un compte rendu optimal en fonction des questions du clinicien.
Points clés |
L’imagerie a peu de place aujourd’hui pour le diagnostic de MC.
La topographie lésionnelle initiale déterminée par endoscopie conditionne les modalités d’imagerie ultérieures.
L’IRM est l’examen de référence dans l’atteinte périnéale et hépatique.
Chaque forme évolutive et ses complications propres conditionne la prise en charge thérapeutique.
Privilégier les imageries non irradiantes.
Résumé |
Les nouvelles thérapeutiques ont modifié la prise en charge de la MC. Si les progrès de l’endoscopie et des vidéocapsules ont relégué l’imagerie en arrière plan dans le diagnostic initial, celle-ci est ensuite primordiale à toutes les étapes dans le choix du traitement. Que cela soit par échographie, scanner ou IRM, la description lésionnelle doit être optimale en précisant la forme (inflammatoire, fistulisante ou sténosante), la topographie et la longueur des segments atteints et les complications à type d’abcès, fistules, perforations ou occlusions du fait leur impact thérapeutique et des risques propres aux traitements.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Grêle, inflammation, Grêle, technique d’exploration
Vol 89 - N° 10
P. 1283 - octobre 2008 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.