Rappeler les incidences particulières et les images pièges. Insister sur les fractures spécifiques ou plus fréquentes chez le sujet âgé.

Discuter de l’intérêt du recours aux explorations complémentaires (scanner, IRM, scintigraphie).

Les fractures sont différentes chez les sujets actifs et non actifs.

L’exploration des sujets non valides peut être difficile.

Images pièges et spécificité de certaines fractures.

Penser au scanner dans les cas hésitants ou d’exploration difficile.

Les sujets âgés en excellente forme physique présentent des fractures de contraintes et des fractures habituellement vues dans la population d’âge moyen. Malheureusement de nombreux patients sont en état de dépendance physique et/ou intellectuelle. Le diagnostic clinique est souvent retardé par méconnaissance de traumatisme ou du fait de l’expression inhabituelle de la douleur. Les difficultés d’exploration sont liées aux déformations en rapport avec les phénomènes dégénératifs, à la déminéralisation osseuse et à la non participation du patient. Il est illusoire dans bien des cas d’obtenir les incidences idéales. Le recours au scanner est fréquent en cas de doute diagnostique.