Partager les objectifs et principales évolutions de la démarche de certification.

Discuter de la place de la sécurité du patient et des pratiques prioritaires exigibles.

Discuter du rôle de l’évaluation des pratiques professionnelles (EPP).

Présenter l’avancement du programme indicateurs.

Faire état d’exigences spécifiques au domaine de l’imagerie et des secteurs interventionnels.

Un objectif majeur : l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins.

Le passage d’une évaluation de l’organisation mise en place pour des soins de qualité à une évaluation des résultats obtenus.

Une recherche d’efficience en faisant de la certification un outil de management et de suivi tout au long du cycle de 4 ans par l’incorporation des indicateurs et des résultats des activités d’EPP dans les tableaux de bord de l’établissement.

Une démarche réactive et adaptée.

Une participation au processus de régulation.

La certification des établissement est en place depuis 8 ans. Les attentes et le contexte ont changé. Ses objectifs reposent sur la poursuite de deux objectifs complémentaires : la promotion et l’évaluation des systèmes d’amélioration. Le suivi par les établissements d’exigences thématiques et la mesure de leur niveau de qualité sur celles-ci. La VI a mis l’accent sur le premier. La V2 et la V2010 renforce progressivement le second avec une intégration des indicateurs et de modalités de visite axées sur l’évaluation des soins effectivement donnés. La V 2010 insiste aussi sur les parcours intégrés de soins associant les professionnels en aval, sur les capacités de maintien de la qualité entres les visites, sur la sécurité du patient, notamment par la définition de pratiques exigibles prioritaires, sur l’évaluation des pratiques professionnelles qui doivent intégrées des études d’efficience et de pertinence. Des critères spécifiques s’appliquent aux secteurs d’imagerie et aux secteurs interventionnels. Leurs éléments d’appréciation sont classés par exigence progressive allant, par exemple, de la prescription argumentée à son informatisation ; du respect des bonnes pratiques à des actions d’amélioration continue ; de l’organisation des échanges d’information entre les plateaux interventionnels et les secteurs cliniques à la mesure d’impact des actions d’amélioration.