Savoir construire en s’appuyant sur les données cliniques, un protocole d’imagerie diagnostique odontostomatologique efficace, économe en termes de coût et d’exposition du patient au rayonnement X, pour un résultat diagnostique performant.

Le premier temps de l’examen d’imagerie est la connaissance du dossier clinique.

Faire simple avant de faire compliqué, si nécessaire.

Plus de cinquante ans après son avènement, l’orthopantomogramme (panoramique dentaire) reste le pivot de l’examen diagnostique en imagerie dento-maxillaire.

Le « cône beam » est aujourd’hui, et sera plus encore demain, la technique de choix de l’imagerie sectionnelle dento-maxillaire.

L’examen d’imagerie est justifié par les données cliniques et optimisé par souci d’économie en doses Rx délivrées au patient. Il faut savoir faire simple avec des techniques éprouvées, largement disponibles (panoramique et/ou clichés endobuccaux). S’ils s’avèrent insuffisants, l’imagerie en coupes sera envisagée, préférant la technique « cône beam » au scanner pour un même résultat avec une moindre irradiation. Les différents chapitres de la pathologie odontostomatologique sont concernés : implantologie, traumatologie, endodontie, inclusions, imagerie pédiatrique dento-maxillaire, orthopédie dentofaciale, articulations temporomandibulaires, cavités sinusiennes…