Étude radiologique du poumon allergique et du poumon éosinophile - 01/01/98

[32-440-A-10]

Jacques Giron : Professeur

Nicolas Sans : Praticien hospitalier

Denise Galy-Fourcade : Praticien hospitalier

Pierre Fajadet : Praticien hospitalier

Jean-Jacques Railhac : Praticien hospitalier
Service d'imagerie médicale, pavillon Jean-Baudot, centre hospitalier universitaire Purpan, place du Docteur-Baylac, 31052 Toulouse cedex France

Alain Didier : Professeur, praticien hospitalier
Service de pneumologie, centre hospitalier universitaire Rangueil, 1, avenue du Professeur Jean-Poulhes, 31054 Toulouse cedex France

Jean-Paul Senac : Professeur, praticien hospitalier, service de radiologie

Pascal Chanez : Praticien hospitalier

Gérard Durand : Attaché
Service de pneumologie, centre hospitalier universitaire de Montpellier, 34000 Montpellier France

Article archivé , publié initialement dans le traité EMC RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE : Cardiovasculaire - Thoracique - Cervicale et remplacé par un autre article plus récent: cliquez ici pour y accéder

Résumé

Le concept de « poumon éosinophile » est un concept en évolution depuis des décennies. Ceci tient à la nature même de la cellule polynucléaire éosinophile (PNE) qui depuis Ehrlich au siècle dernier n'a pas livré tous ses secrets.

À l'heure actuelle, on classe les pathologies avec éosinophilie au lavage selon que l'éosinophilie est dominante ou d'accompagnement et selon qu'il existe une étiologie, un asthme, une vascularite ou aucune étiologie. Dans les formes idiopathiques, on oppose les formes simples aux formes chroniques et aiguës.