Hémolyses extracorpusculaires non immunologiques et hémolyses d'origine toxique - 29/10/09
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Dans diverses situations, les hématies peuvent subir des agressions externes conduisant à leur destruction précoce. Si l'on met de côté les cas liés à des anticorps (détectables par le test de Coombs), on peut retrouver des causes en rapport avec des micro-organismes (principalement Plasmodium et Clostridium perfringens), des agents chimiques, physiques ou des médicaments, des anomalies métaboliques ou enfin des perturbations des conditions de circulation à l'intérieur des vaisseaux sanguins (hémolyse de type mécanique). Dans cette catégorie, on se doit de distinguer les macroangiopathies, observables notamment en cas de rétrécissement aortique, valve artificielle ou circulation extracorporelle, des atteintes de la microcirculation : hémoglobinurie d'effort et microangiopathies thrombotiques (MAT). Les MAT, qui comprennent le purpura thrombotique thrombopénique (dont la physiopathologie n'a été élucidée qu'au tournant de ce siècle) et le syndrome hémolytique et urémique, se traduisent par des manifestations clinicobiologiques bien plus complexes que la seule hémolyse et requièrent une prise en charge urgente et spécialisée.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Anémie hémolytique, Hémolyses mécaniques, Microangiopathie thrombotique, Hémolyses toxiques
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