Second- and third-line chemotherapy in patients with metastatic pancreatic adenocarcinoma: Feasibility and potential benefits in a retrospective series of 117 patients - 30/10/09
, E. Mitry a, b, A. Lièvre b, C. Lepère b, J.-N. Vaillant b, d, G. Declety a, b, H. Parlier b, J.-F. Emile a, b, C. Julié a, b, P. Rougier a, b, c
Corresponding author. Service d’hépato-gastroentérologie et d’oncologie digestive, hôpital Ambroise-Paré, Assistance publique–Hôpitaux de Paris, université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, 9, avenue Charles-de-Gaulle, 92190 Boulogne-Billancourt cedex, France.
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Summary |
Background |
Chemotherapy is effective in metastatic pancreatic adenocarcinoma (PAC), but the benefits of second- and third-line chemotherapy remain unclear.
Methods |
We studied all patients followed consecutively for metastatic PAC, and registered at our institution between 1997 and 2006. We retrospectively analyzed the following data in terms of chemotherapy: tumor response; time to tumor progression (TTP) for each line; and overall survival (OS). Efficacy of second-line regimens was assessed using the growth modulation index (GMI).
Results |
Out of 117 patients, 99 (85%) received at least one line of chemotherapy, 53 (45%) received two lines and 24 (21%) had three or more lines. Median OS was 6.7 months for all 117 patients, 1.8 months for 18 patients who never received chemotherapy, 4.6 months for 46 patients who received one-line chemotherapy and 11.5 months for 53 patients who received at least two lines. Median OS from the beginning of the second-line was 4.7 months. The GMI demonstrated beneficial effects of second-line treatment on disease progression, with a GMI greater than 1.33 in 57% (30/53) of patients.
Conclusion |
More than half the patients with metastatic PAC progression while receiving one-line chemotherapy achieved better disease control on receiving two lines of treatment.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Introduction |
L’efficacité de la chimiothérapie est démontrée dans les adénocarcinomes du pancréas métastatique (APM) mais le bénéfice d’une deuxième ou troisième ligne de traitement demeure incertain.
Méthodes |
Nous avons évalué tous les patients suivis consécutivement et enregistrés dans notre centre pour un APM entre 1997 et 2006. Les données suivantes ont été analysées rétrospectivement : la réponse tumorale, la survie sans progression (SSP) pour chaque ligne et la survie globale (SG). L’efficacité des deuxièmes lignes a été évaluée en utilisant le growth modulation index (GMI).
Résultats |
Parmi les 117 patients suivis, 99 (85 %) avaient reçu au moins une ligne de chimiothérapie, 53 (45 %) deux lignes et 24 (21 %) trois lignes ou plus. La survie globale médiane était de 6,7 mois pour les 117 patients, 1,8 mois pour les 18 patients qui n’avaient pas reçu de chimiothérapie, 4,6 mois pour les 46 patients qui avaient reçu une ligne et 11,5 mois pour les 53 patients qui avaient reçu au moins deux lignes. La survie globale médiane à partir du début de la deuxième ligne était de 4,7 mois. Le GMI était supérieur à 1,33 chez 57 % des patients (30/53) ayant reçu une deuxième ligne.
Conclusion |
Plus de la moitié des patients qui progressent après une première ligne et qui peuvent en recevoir une deuxième en tirent un bénéfice en terme de contrôle tumoral.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Plan
Vol 33 - N° 10-11
P. 1036-1044 - octobre 2009 Retour au numéro
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