Tumeurs hépatiques malignes primitives. Tumeurs primitives non biliaires - 01/01/02
Valérie Vilgrain : Professeur des Universités, praticien hospitalier
Hôpital Beaujon, 100, boulevard du Général-Leclerc, 92110 Clichy France
pages | 13 |
Iconographies | 24 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Résumé |
Les tumeurs malignes primitives du foie bénéficient d'une très grande avancée dans la précision du diagnostic préopératoire, dans l'extension des indications opératoires, en particulier grâce à l'évolution de la chirurgie hépatique qui devient très conservatrice. Les traitements percutanés (alcoolisation, radiofréquence) ont aussi une place importante. La lésion la plus fréquente est le carcinome hépatocellulaire, en particulier du fait de la grande fréquence des hépatites chroniques virales et des cirrhoses éthyliques. La tomodensitométrie (TDM) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM) permettent d'approcher la caractérisation tissulaire avec une grande spécificité pour certaines tumeurs fréquentes. Les tumeurs plus rares restent parfois de diagnostic anatomopathologique. Le bilan préopératoire repose sur ces examens, ainsi que sur l'échographie avec doppler et l'artériographie pour le bilan des atteintes vasculaires. La surveillance postopératoire est réalisée par échographie, TDM et IRM.
Mots-clés : foie, tumeurs malignes primitives, carcinome hépatocellulaire, cholangiocarcinome, échographie, TDM, IRM, radiologie interventionnelle
Plan
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à ce traité ?