L'attitude du médecin devant l'afflux d'images qui lui parviennent de toutes parts est conditionné par les limites physiologiques de notre système visuel comme par un certain nombre d'automatismes ou d'attitudes acquises sur le plan psychologique.

La nature des images proposées aux médecins et les contraintes qui en résultent constituent la première partie de l'étude.

Il faut ensuite connaître les éléments principaux du fonctionnement de notre vision et notamment son appréhension des luminances, des contrastes et des couleurs. C'est l'objet de la deuxième partie de cet exposé, consacré aux bases de la physiologie et de la psychophysique visuelles.

Cependant la reproduction sur différents supports de données abstraites traduites en images oblige à connaître les limites de nos différents modes de présentation des images. Ceci conduit tout naturellement dans cette troisième partie, à terminer par la définition des critères d'une « bonne image ».

Enfin, une conclusion reprend quelques-uns des messages fondamentaux qui dans l'état actuel de nos techniques, doivent être connus de tous ceux qui s'intéressent, de près ou de loin, à la réalisation et à l'interprétation des images médicales.

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