Les cancers du poumon : le point de vue du medecin nucleaire - 01/12/09
Résumé |
Objectifs pédagogiques |
Rattacher l’intérêt de la scintigraphie TEP-FDG, ses indications, son apport diagnostique et thérapeutique, à la biologie du FDG et au métabolisme glucidique des cellules tumorales et des tumeurs.
Montrer la complémentarité des informations métaboliques et anatomiques pour une meilleure évaluation des patients et une meilleure aide à la décision.
Exposer les SOR (Standards, Options, Recommandations), leur lien avec l’AMM, l’évolutivité de leur utilisation en fonction des progrès thérapeutiques. Ouvrir sur les perspectives liées à d’autres traceurs fluorés.
Donner un aperçu des progrès technologiques à attendre (détecteurs, caméras).
Messages à retenir |
La scintigraphie au FDG est liée aux caméras à positons (TEP) à cause du fluor 18, mais reste une modalité de médecine nucléaire, revendiquant un statut d’imagerie « moléculaire » (« biochimie in vivo »).
Les informations métaboliques et biochimiques devraient permettre avant tout une meilleure approche de l’efficacité des traitements (prédiction de la réponse) ; elles s’inscrivent impérativement dans un contexte pluridisciplinaire.
Il s’agit d’une approche très rapidement évolutive : par rapport aux autres modalités d’imagerie (complémentarité) et du fait de l’apparition de nouveaux radiopharmaceutiques afin de suivre les questions soulevées par l’innovation thérapeutique en cancérologie.
L’objectif doit rester, au delà des performances diagnostiques, l’impact sur la prise en charge et le service rendu au patient (survie et de qualité de vie), difficiles à évaluer pour les méthodes d’imagerie, qui évoluent très vite et dont la part est impossible à isoler de celle des traitements.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Poumons, tumeur maligne, TEP, imagerie fonctionnelle
Vol 88 - N° 10
P. 1401 - octobre 2007 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.