Comment je surveille un syndrome aortique aigu traite medicalement au scanner ou en IRM - 29/01/10

Doi : 10.1016/S0221-0363(09)74862-0 
L. Cassagnes , G. Favrolt, P. Chabrot, A. Ravel, L. Boyer
Clermont-Ferrand – France 

Correspondance.

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Résumé

Objectifs

Connaître les risques évolutifs des pathologies aortiques traités médicalement et leur traitement.

Savoir standardiser la répétition et la réalisation des examens aortiques mais également leur interprétation, avec notamment des mesures aortiques reproductibles.

Savoir reconnaître les images caractérisant l’évolution de la pathologie aortique traitée médicalement : reperméabilisation d’un hématome pariétal, d’un faux chenal thrombose, dilatation d’un faux chenal perméable.

Messages à retenir

Hématome pariétal, ulcère pénétrant, dissection de type B qui peuvent se manifester initialement bruyamment, peuvent ne requérir qu’un traitement médical.

Ils doivent bénéficier d’un suivi régulier par TDM ou IRM car il s’agit de lésions évolutives qui peuvent se compliquer à bas bruit. Il est nécessaire de standardiser le calendrier, la réalisation des examens et leur interprétation afin d’assurer un suivi de l’évolutivité reproductible.

Résumé

La surveillance des syndromes aortiques aigus traités médicalement repose sur l’imagerie en coupe, TDM ou IRM. Elle est indispensable quelle que soit la technique, l’évolutivité se faisant souvent à bas bruit ; elle repose sur une confrontation standardisée avec les examens précédents. Les dissections aortiques traitées médicalement nécessitent un suivi régulier et reproductible (12 à 18 mois) à la recherche d’une dilatation anévrismale du faux chenal, d’une malperfusion viscérale, d’une extension ou une évolution. La surveillance d’un hématome pariétal, d’un ulcère bénéficieront également d’un suivi rapproché à la recherche d’une évolutivité ou d’une reperméabilisation.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Mots clés : Aorte thoracique, surveillance, Angioscanner



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Vol 90 - N° 10

P. 1210 - octobre 2009 Retour au numéro
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