L’injection de gadolinium est-elle utile en pathologie rachi-medullaire ? - 29/01/10
Résumé |
Objectifs |
Tirer parti au mieux des séquences conventionnelles selon le niveau anatomique.
Documenter l’intérêt du Gadolinium selon la recherche étiologique. Evaluer son impact dans la prise en charge thérapeutique.
Messages à retenir |
L’utilisation du Gadolinium n’est pas sans danger chez l’insuffisant rénal.
Le Gadolinium est souvent incontournable (infection, post-chirurgical, démyélinisation, tumeur médullaire...).
Influence sur la détectabilité lésionnelle du délai post-injection, de la dose/relaxivité de l’agent de contraste, de l’intensité du champ magnétique.
Résumé |
L’utilisation de Gadolinium dans la pathologie vertébrale et du contenu rachidien doit être revisitée à l’aulne : des risques récents que fait courir la fibrose néphrogénique systémique chez l’insuffisant rénal, l’utilité du gadolinium pour améliorer la détection lésionnelle, son intérêt pour les diagnostic différentiels, l’optimisation des protocoles en fonction de la localisation (cervicale, dorsale, lombo-sacrée) du compartiment spinal spécifique (osseux, épidural, intra-dural, extra-médullaire), de la pathologie suspectée (néoplasie infectieuse, dégénérative, inflammatoire, post traumatique), du caractère pré ou post thérapeutique de l’exploration, de l’Imagerie à haut champ (3 Tesla) et de Gadolinium à effet rémanent, de la relation efficience-temps-coût d’une exploration rachidienne.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : IRM, technique d’exploration, Produits de contraste, pathologie intracanalaire, Rachis, pathologie
Vol 90 - N° 10
P. 1251 - octobre 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.