L’imagerie hybride en 2009. Point de vue d’un medecin nucleaire - 29/01/10
Résumé |
Objectifs |
L’association matérielle d’un scanner × et d’une caméra TEP (tomographie par émission de positons), permet l’obtention directe de documents morpho-fonctionnels. L’exploitation technique approfondie des possibilités du scanner associé est d’actualité : scanner à visée diagnostique avec injection de produit de contraste iodé ; acquisition multi-phase selon les conditions matérielles (scanners multibarrettes).
Matériels et méthodes |
Après avoir réalisé une expérimentation sur fantômes et une étude prospective de faisabilité in vivo, nous réalisons à Lyon Sud depuis 2007 des examens TEP-TDM avec injection d’iode en pratique clinique courante. Critère de qualité essentiel, il existe dans notre PAM d’imagerie, une collaboration efficace entre médecins nucléaires (formés à l’imagerie en coupes) et radiologues, avec interprétation conjointe des examens.
Résultats |
L’analyse des 50 premiers examens consécutifs a montré un bénéfice en termes de précision diagnostique, logistique et radio-protection. Ceci est également montré par les données de la littérature. De même, avec les caméras TEMP-TDM (tomographie d’émission monophotonique), la question de l’injection de produit de contraste se pose dans certaines indications.
Conclusion |
L’évolution technologique rapide nous conduit à modifier nos pratiques (notamment : injection d’iode et lecture de l’imagerie en coupes) pour une exploitation optimale de chaque versant de l’imagerie hybride.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : TEP, Scanographie, Cancer
Vol 90 - N° 10
P. 1260 - octobre 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.