La moelle et racines traumatiques : imagerie dans la prise en charge aigue et chronique - 29/01/10
Résumé |
Objectifs |
Connaître l’anatomo-physiologie médullaire.
Connaitre les étiologies.
Savoir utiliser les séquences d’IRM afin d’apprécier le pronostic du patient.
Messages à retenir |
Traumatismes médullaires fréquents chez les sujets jeunes et très invalidants.
La symptomatologie clinique dépend des faisceaux et segments médullaires atteints.
L’utilisation de l’IRM permet de faire un bilan étiologique et de rechercher les complications précoces ainsi que les pathologies associées.
L’utilisation de l’imagerie fonctionnelle permet d’apprécier le pronostic de récupération du patient avant / après traitement.
Résumé |
Les traumatismes médullaires sont des pathologies fréquentes et graves, très invalidantes, prédominant chez les sujets jeunes. Les segments de moelle atteints sont responsables des syndromes cliniques (Brown-Sequard, Babinski, déficit moteur…), et les zones lésionnelles intramédullaires et radiculaires sont le mieux appréciées en IRM. Celle-ci doit conduire à la recherche d’hémorragie ou d’éléments compressifs, de sections totales ou partielles de moelle, d’arrachement radiculaire, etc.. L’utilisation de séquences en tenseur de diffusion et la tractographie permettent de localiser les zones les plus atteintes et d’avoir un aperçu de la viabilité du tissu, permettant d’envisager un pronostic fonctionnel de récupération pour le patient.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Rachis, traumatisme, IRM
Vol 90 - N° 10
P. 1274 - octobre 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.