Imagerie de l’instabilite glenohumerale anterieure et des SLAP - 29/01/10
Résumé |
Objectifs |
Connaître le bilan radiologique standard à effectuer.
Connaître les avantages et inconvénients de l’arthroIRM vs arthro-scanner.
Savoir reconnaître les variantes de la normale du labrum.
Connaître les différentes lésions : SLAP, Bankart, ALPSA, Peryhes, HAGL
Messages à retenir |
Tout bilan d’instabilité doit comporter des clichés glénoïdiens de bonne qualité.
La décision de chirurgie à ciel ouvert ou par arthroscopie dépend du degré d’atteinte de la partie antéro-inférieure de la glène (visible sur les clichés glénoïdiens, l’arthroscanner ou un scanner simple).
L’arthro-scanner évalue bien l’atteinte osseuse mais l’arthro-IRM évalue mieux le labrum et le ligament glénohuméral inférieur (LGHI). Il ne faut pas confondre une SLAP avec un récessus sous-labral.
Le labrum antérieur peut être physiologiquement non adhérent (fora-men sous-labral) ou absent (souvent associé à un complexe de Buford).
Le « J » signe permet parfois de suspecter une déchirure du LGHI.
Résumé |
Le bilan d’imagerie est fondamental pour planifier une chirurgie. Les radiographies standard permettent souvent d’envisager une chirurgie à ciel ouvert en cas d’atteinte osseuse importante de la glène. La réalisation d’un arthroscanner ou d’une arthroIRM est surtout indiquée si un traitement arthroscopique est envisagé. Nous envisagerons l’imagerie optimale pour explorer ces lésions du labrum supérieur et antéro-inférieur. Nous essaierons de distinguer les variantes de la normale des lésions du labrum. Nous ferons un rappel de la classification des SLAP en insistant sur les lésions les plus significatives. Nous terminerons par la proposition d’un compte rendu standardisé répondant aux questions posées par le chirurgien.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Epaule, luxation, Epaule, douleur, Epaule, instabilité
Vol 90 - N° 10
P. 1282 - octobre 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.