IRM et spondylarthropathie - 29/01/10
Résumé |
Objectifs |
Connaître le protocole IRM pour explorer une SPA.
Connaître la sémiologie IRM d’une SPA.
Savoir distinguer une IRM avec signes d’activité d’une IRM avec signes de maladie chronique.
Messages à retenir |
L’apport de l’IRM est certain pour le diagnostic précoce, même si cet examen peut être négatif dans une vraie spondylarthrite. Les cohortes actuellement en cours de constitution, telle la cohorte nationale DESIR (DEvenir des Spondylarthropathies Indifférenciées Récentes), devraient, à terme, offrir un outil de travail susceptible d’évaluer de nouveaux algorithmes de diagnostic précoce, et de mieux préciser la place de l’imagerie en pratique courante.
Résumé |
Une IRM des sacro-iliaques doit être réalisée en séquence STIR (suppression de graisse) et en séquence Tl. L’injection intraveineuse de gadolinium n’est pas utile en pratique courante dans cette indication. L’IRM du rachis entier apporte des informations supplémentaires et peut donc être conseillée : il n’existe cependant pas de consensus à ce sujet, pour notre part nous conseillons cet examen. Il est important de préciser qu’il s’agit d’une recherche d’inflammation, afin que les séquences adaptées (STIR) soient réalisées.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Rachis, arthrite
Vol 90 - N° 10
P. 1334 - octobre 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.