Handicap sensoriel de l’enfant : exemple des surdites - 29/01/10
Résumé |
Objectifs |
Savoir quand demander une imagerie en cas de surdité neurosensorielle.
Savoir comment les résultats de l’imagerie vont influencer la prise en charge de l’enfant.
Connaître les éléments du suivi après la pose d’un implant cochléaire.
Messages à retenir |
L’imagerie est indispensable à la prise en charge d’une surdité neurosensorielle de l’enfant.
Elle doit être la plus précise et exhaustive possible, et dans ses limites, ne pas méconnaître une atteinte plurisensorielle.
Elle n’est cependant qu’une part du bilan décisionnel de pose d’implant cochléaire et de son suivi.
Résumé |
L’imagerie fait partie intégrante du bilan étiologique d’une surdité neurosensorielle chez l’enfant. Le but de cet exposé est de situer le/les examen(s) d’imagerie dans ce bilan, et de montrer leur influence sur la prise en charge. En fonction du degré de surdité, légère à sévère (où l’appareillage est efficace), ou profonde (où l’implant cochléaire est envisagé), TDM et/ou IRM seront plus ou moins précoces. L’imagerie permet l’analyse des structures labyrinthiques, des nerfs cochléovestibulaires et de l’encéphale. Elle recherche des anomalies associées éventuellement syndromiques (syndrome CHARGE) ou séquellaires (surdité postméningitique ou post-traumatique), responsables de polyhandicap. De fait, le radiologue, membre d’une équipe pluridisciplinaire, participe à la décision chirurgicale et au suivi des enfants sourds implantés.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Oreille, surdité
Plan
Vol 90 - N° 10
P. 1337-1338 - octobre 2009 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.