Qu’est-ce qui a changé dans la prise en charge de l’IMC ? - 16/04/10
Brigitte Bouchot-Marchal
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La première chose qui a évolué dans la prise en charge du patient IMC (infirme moteur cérébral) est le consensus défini autour d’une nouvelle appellation dérivée de la traduction anglo-saxonne cerebral palsy : le terme d’« infirme moteur cérébral » devient « paralysie cérébrale » (PC), regroupant par là-même les IMC et les IMOC, dissociés autrefois en raison de la présence de troubles de l’intelligence chez les seconds. L’évolution de la kinésithérapie s’est aussi appuyée sur une écoute bien plus grande de la douleur de l’enfant, engendrée par les techniques d’étirement en particulier et par les postures. L’objectif principal reste l’accession à un mode de déplacement possible en limitant les problèmes orthopédiques liés à la spasticité et en renforçant les muscles déficitaires à travers les niveaux d’évolution motrice. L’utilisation de la toxine botulique est venue faciliter le port des appareillages, les étirements et les sollicitations motrices.
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Vol 10 - N° 100
P. 60-61 - avril 2010 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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