réflexion - Assassinat d’Henri IV, troubles mentaux et responsabilité pénale - 09/11/10
Jean-Pierre Bouchard
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Le 14 mai 1610, François Ravaillac, délirant mystique, assassine le roi Henri IV. Sous l’Ancien Régime, le régicide est considéré comme un parricide suprême et fait l’objet d’un châtiment d’exception même si son auteur présente d’importants signes de folie. Qu’en serait-il aujourd’hui ? L’étude de cet épisode historique notoire permet une réflexion sur la façon de concevoir et de traiter depuis quatre siècles la dangerosité liée aux troubles mentaux.
Assassination of Henri IV, mental disorders and criminal responsibility |
On 14th May 1610, François Ravaillac, a delusional mystic, assassinated King Henri IV. Under the Ancien Régime, regicide was considered as a supreme act of patricide and received the ultimate punishment even if the perpetrator showed obvious signs of insanity. What would the situation be today? A study of this notorious historical episode provides a reflection on the way dangerousness linked to mental disorders has been viewed and treated over the last four centuries.
Mots clés : Assassinat , Dangerosité , Hallucination , Hospitalisation d’office , Parricide , Psychose , Responsabilité pénale , Schizophrénie , Unité pour malades difficiles
Keywords:
Assassination
,
Compulsory hospitalisation
,
Criminal responsibility
,
Dangerousness
,
Hallucination
,
Parricide
,
Psychosis
,
Schizophrenia
,
Unit for dangerous patients
Plan
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Vol 31 - N° 271
P. 39-42 - novembre-décembre 2010 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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