S’il on prend en compte les bénéfices sur la qualité de vie, ainsi que les bénéfices à long terme, les non répondeurs à la réhabilitation respiratoire sont moins nombreux que les 40 % retrouvés dans la littérature. Il est difficile d’identifier les non répondeurs et encore plus de faire ressortir des facteurs prédictifs de non réponse. En revanche les BPCO qui pourraient bénéficier d’une réponse optimale au réentraînement seraient des patients présentant une limitation périphérique majoritaire par déconditionnement, et gardant une réserve ventilatoire correcte.