Lymphomes non hodgkiniens T et NK périphériques - 01/01/04
Service d'anatomie pathologique et service d'hématologie clinique, hôpital Henri Mondor, 51, avenue du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, 94010 Créteil cedex France
Service d'oncohématologie, Inserm ERM-0220, hôpital Saint-Louis, 2, avenue Claude-Vellefaux, 75475 Paris cedex 10 France
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Résumé |
Les lymphomes T et NK périphériques constituent un groupe hétérogène de néoplasies d'origine lymphocytaire. Ils représentent environ 15 % des lymphomes dans les pays occidentaux. Le pronostic de ces lymphomes est défavorable si on le compare à celui des lymphomes B. Leur classification selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ne distingue pas moins de seize entités différentes. Les lymphomes anaplasiques, les lymphomes angio-immunoblastiques et les lymphomes T sans autres précisions sont les trois grands groupes rencontrés. Chacun possède ses propres caractéristiques épidémiologiques, physiopathologiques, pronostiques et thérapeutiques. Il n'existe pas de traitement spécifique chimiothérapique pour la plupart de ces sous-types, et les innovations thérapeutiques méritent d'être évaluées pour plusieurs d'entre eux.
Mots-clés : Lymphomes T périphériques, Épidémiologie des lymphomes, Traitement des lymphomes
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