Étude bactériologique de la rupture prématurée des membranes - 11/05/11
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L’étude rétrospective présentée ici a étudié les caractéristiques microbiologiques des grossesses compliquées d’une rupture prématurée des membranes (RPM) survenue entre 24 et 34 semaines d’aménorrhée (SA) et a tenté d’identifier une population à risque de complications infectieuses. Pour les auteurs, le dépistage du risque infectieux doit reposer sur un faisceau d’arguments cliniques et biologiques : les patientes ayant présenté au moins un prélèvement bactériologique positif constituent un groupe à risque. Pour prévenir les infections néonatales précoces à streptocoque B, il apparaît pertinent de prescrire une antibioprophylaxie par amoxicilline dans les grossesses compliquées d’une RPM.
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Vol 22 - N° 454
P. 20-22 - mai 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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