We report our preliminary results of arthroscopic dorsal capsuloplasty for chronic scapholunate lesions to obviate the need for an open exposure of the wrist capsule. Twenty-two consecutive patients with scapholunate ligament tears underwent an arthroscopically-assisted dorsal capsuloplasty with or without percutaneous pinning. The mean age of subjects was 36 years (range, 27 to 55 years). The mean preoperative delay was 9 months (range 3 to 24 months). Criteria for surgery were persistent pain over the dorsal radial wrist in the scapholunate region and a positive finding on performing Watson’s test. All patients were reviewed at a mean follow-up of 13 months (range, 7 to 19 months). The range of motion was recovered with a slight limitation in flexion in only four cases. The average grip strength attained was 96% of the contralateral side. The results in terms of pain were excellent. The seven high level athletes resumed practice at the same level as prior to the injury. A longer follow-up is necessary to confirm these encouraging preliminary results.

Nous rapportons les résultats préliminaires du traitement des lésions chroniques du ligament scapholunaire par la réalisation d’une capsuloplastie dorsale sous arthroscopie, sans besoin de chirurgie ouverte. Vingt-deux patients présentant une lésion chronique du ligament scapholunaire ont bénéficié de cette technique, associée dans certains cas à un brochage. L’âge moyen des sujets était de 36 ans (entre 27 et 55 ans). Le délai entre le traumatisme et l’intervention était en moyenne de neuf mois (entre trois et 24 mois). L’indication opératoire était posée devant une douleur persistante de la région scapholunaire dorsale et/ou un test de Watson positif avec ressaut. Tous les patients ont été revus avec un recul moyen de 13 mois (entre sept et 19 mois). Les mobilités ont été récupérées avec une légère perte de flexion dans quatre cas. La force musculaire était de 96 % en moyenne par rapport au côté opposé. Les résultats sur la douleur étaient excellents. Sept patients sportifs de haut niveau ont pu reprendre leurs activités sportives au même niveau qu’avant le traumatisme. Un plus long recul est nécessaire pour valider ces résultats encourageants.