Intensity Modulated Radiation Therapy in Head and Neck Squamous Cell Carcinoma: state of the art and future challenges - 01/01/05
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Abstract |
Intensity-modulated radiation therapy (IMRT) for head and neck (HN) tumors refers to a new approach to the whole treatment procedure from patient immobilization to beam delivery. Implementation of IMRT thus requires knowledge of setup uncertainties, adequate selection and delineation of target volumes based on clinical examination and optimal imaging modalities, appropriate specification and dose prescription regarding dose-volume constraints, and ad hoc quality control of both the clinical and physical aspects of the whole procedure. A large number of issues still need to be resolved and/or further refined, such as the optimal selection and delineation of the target volume in particular, with the introduction of functional imaging, and a better integration of improved dose distribution into the fractionation strategy. IMRT is associated with a potentially increased incidence of carcinogenesis, although in the HN area this risk is relative to the intrinsic risk of co-morbidity and secondary cancer associated with the patient's lifestyle. Currently, the implementation of IMRT into routine clinical practice for HN cancers may not be a straightforward matter, and should probably be restricted to selected patients and selected institutions with adequate resources and experience. This review emphasizes the above aspects and provides some recommendations for the future use of IMRT in patients with HN tumors.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
La radiothérapie par modulation d'intensité (RCMI) pour les tumeurs cervico-maxillo-faciales représente une nouvelle approche thérapeutique depuis l'immobilisation du patient jusqu'à la délivrance de la dose. La mise en place de la RCMI nécessite une parfaite connaissance des incertitudes de positionnement, des volumes cibles à irradier, de la spécification et de la prescription des contraintes dose-volume, et enfin une parfaite maîtrise du contrôle de qualité de la procédure tant clinique que physique. Il persiste encore des zones d'ombre qui doivent être éclaircies ou améliorées, comme la sélection optimale des volumes cibles et leur délimitation, en particulier avec l'introduction de l'imagerie fonctionnelle, ainsi qu'une meilleure intégration de la distribution de la dose et des stratégies de fractionnement de la dose. Enfin, la RCMI pourrait théoriquement accroître le risque de cancers radio-induits, bien que ce risque doive être balancé avec le risque lié aux facteurs prédisposant la survenue des cancers des voies aéro-digestives supérieures. Aujourd'hui, la mise en place de la RCMI en routine clinique n'est pas chose aisée et devrait idéalement être limitée à des institutions sélectionnées pour leurs ressources et leur expérience. Cette revue illustre les différents aspects mentionnés ci-dessus et suggère quelques recommandations pour l'utilisation de la RCMI dans la sphère ORL.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Radiotherapy, Head and neck cancer, IMRT
Mots clés : Radiothérapie, IMRT, Tumeurs de la sphère ORL
Plan
Vol 9 - N° 1
P. 42-50 - février 2005 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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