Tumeurs hépatiques de l'enfant : approche par l'imagerie - 01/01/05
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Résumé |
Les tumeurs hépatiques sont rares chez l'enfant et ne représentent que 1 à 2 % de toutes les tumeurs pédiatriques. Les deux tiers sont malignes. L'orientation étiologique devant une tumeur hépatique chez l'enfant repose sur un faisceau d'arguments cliniques, biologiques et d'imagerie. L'échodoppler, qui est en général le premier examen réalisé, doit répondre aux questions suivantes : la masse est-elle bien hépatique ? Quel est son aspect (kystique, solide, calcifications...) ? La tumeur est-elle unique ou multiple (angiomes...) ? Existe-t-il des anomalies vasculaires intra- ou extrahépatiques associées (fistule portocave, thrombose porte...) ? Les voies biliaires sont-elles dilatées ? Existe-t-il une hépatopathie chronique sous-jacente (tyrosinémie, glycogénose, cirrhose...) ? Un autre organe est-il atteint (syndrome de Pepper, tyrosinémie, lymphome...) ? Quels segments hépatiques sont respectés ? L'échographie sera utilement complétée en fonction des disponibilités et de l'expertise locale par un scanner ou une imagerie par résonance magnétique (IRM) comportant nécessairement une acquisition sans injection puis après injection aux phases artérielle, veineuse et éventuellement tardive, suivant des protocoles adaptés à l'âge de l'enfant. La biopsie percutanée souvent échoguidée sera pratiquée dans un deuxième temps.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Tumeur hépatique pédiatrique, Tumeur bénigne hépatique infantile, Foie
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