Douleur chronique et psychiatrie - 01/01/00
Centre hospitalier universitaire Saint-Antoine, 184, rue du Faubourg Saint-Antoine, 75012 Paris France
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Résumé |
La demande de soulagement d'une douleur est sans doute le motif de consultation le plus fréquent. Souvent, la recherche de l'étiologie et son traitement, quand il est possible, amènent un apaisement rapide et durable. La douleur aiguë a alors rempli son rôle d'alarme. Plus rarement, parce que la pathologie n'est pas curable, mais aussi du fait de facteurs personnels ou environnementaux, la douleur a tendance à se chroniciser avec le risque d'évolution vers un syndrome douloureux chronique. C'est alors la globalité du sujet souffrant qui est bouleversée dans ses dimensions somatique, affective, cognitive et comportementale et qui doit mobiliser ses capacités adaptatives. Car les remaniements psychiques sont considérables, aussi bien au cours des pathologies psychiatriques que des maladies organiques. La dépression, qui peut compliquer l'évolution de tout syndrome douloureux, y tient une place particulière par la complexité des liens qu'elle tisse avec la douleur.
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