Imagerie vasculaire (à l'exclusion de l'échographie) - 18/12/06
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Résumé |
L'imagerie vasculaire d'aujourd'hui est confrontée d'une part à l'éclosion de multiples méthodes dites non invasives (échodoppler, angioscanographie hélicoïdale [ASH], angiographie par résonance magnétique [ARM]) et d'autre part à l'importance croissante de la radiologie interventionnelle endovasculaire qui devient primordiale. À partir du moment où l'examen clinique permet de décider si l'état du malade justifie les explorations, deux questions se posent : quel est l'apport des nouvelles techniques peu invasives dans les différentes étapes du diagnostic (dépistage, imputabilité, évaluation préthérapeutique, surveillance), en fonction des territoires et des pathologies ? Quels sont les cas où ces techniques permettent de se dispenser de l'artériographie dans le choix thérapeutique ? La réponse est variable selon les cas et doit tenir compte du caractère multifocal de l'atteinte vasculaire, des problèmes de coût et d'efficacité diagnostique. En pratique, l'artériographie conserve une place de choix, chaque fois qu'un traitement endovasculaire est envisagé. Les nouvelles techniques sont utilisées surtout pour le dépistage (doppler), en cas d'impossibilité de l'artériographie (ARM), et quand elles sont susceptibles d'apporter des informations supplémentaires par rapport à l'artériographie dans des pathologies focales.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Artères (techniques d'exploration), Veines (techniques d'exploration), Angioscanner, Angio-IRM, Angiographie
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