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Antifongigramme et concentration minimale inhibitrice - 13/09/11

[90-35-0053-A]  - Doi : 10.1016/S2211-9698(11)56775-5 
V. Letscher-Bru  : Maître de conférences des Universités, praticien hospitalier
Institut de parasitologie et de pathologie tropicale, 3, rue Koeberlé, 67000 Strasbourg, France 

Article en cours de réactualisation

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Résumé

L'augmentation constante de l'incidence des infections fongiques graves, l'émergence de nouvelles espèces, le développement de nouveaux antifongiques et l'apparition de résistances requièrent l'utilisation de tests de sensibilité in vitro bien standardisés. Les techniques de référence sont lourdes et mal adaptées à une utilisation de routine. Plusieurs tests commerciaux sont disponibles, en milieu liquide, semi-gélosé ou en gélosé. Ils sont soit qualitatifs, classant dans ce cas les isolats en catégories sensibles, intermédiaires ou résistants, soit quantitatifs, en fournissant une valeur chiffrée de la concentration minimale inhibitrice (CMI). Le choix d'une technique doit prendre en compte le type de souches fongiques à tester (souches d'infections ou de colonisation, levures et/ou champignons filamenteux), la nature des antifongiques à tester et la vérification du degré de corrélation avec les méthodes de référence. Dans tous les cas l'utilisation de souches contrôle de qualité spécifiques des antifongigrammes est indispensable pour valider les conditions techniques et standardiser la lecture lors de la mise en place de la technique.

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Mots clés : Antifongigramme, Concentration minimale inhibitrice, Résistances, Contrôles de qualité, Antifongiques


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