De l’hyperuricémie à la goutte : épidémiologie de la goutte - 08/11/11
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La prévalence et l’incidence de la goutte ont augmenté ces dernières décennies. De très nombreux facteurs de risque de goutte ont été identifiés, chez l’homme et chez la femme, dans des études épidémiologiques prospectives : hyperuricémie, facteurs génétiques, facteurs alimentaires, consommation d’alcool, syndrome métabolique (incluant hypertension et obésité), insuffisance rénale chronique et diurétiques. La goutte semble être un facteur de risque indépendant pour toutes les causes de mortalité et la morbi-mortalité des maladies cardiovasculaires. Cependant, comme l’hyperuricémie survient souvent chez des patients ayant d’autres facteurs de risque d’insuffisance rénale chronique et de maladies cardiovasculaires, incluant l’hypertension, le diabète et la protéinurie, l’indépendance de l’association reste débattue. Seules les études d’intervention permettront de (re) définir les indications thérapeutiques des hypo-uricémiants dans les comorbidités associées à l’hyperuricémie asymptomatique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Goutte, Acide urique, Epidémiologie, Facteurs de Risque, Comorbidités
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Vol 78 - N° S3
P. S109-S115 - octobre 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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