Faut-il surveiller les nouveaux anticoagulants oraux ? Exemple du dabigatran - 21/11/11
Lucile Jeanne [1]
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Les nouveaux anticoagulants ont pour caractéristiques majeures d’être administrables par voie orale, de ne pas induire de thrombopénie (notamment par rapport à l’héparine) et de ne pas nécessiter de surveillance biologique. Ce dernier avantage revendiqué par les firmes pharmaceutiques, notamment pour le dabigatran, est remis en cause pour plusieurs raisons : faible biodisponibilité, et donc grande variabilité intra-individuelle, avec pour conséquence risque de sous- ou de surdosage ; interactions médicamenteuses importantes principalement avec les molécules agissant sur l’hémostase. Des tests sont actuellement développés et en cours de standardisation pour un suivi biologique plus que probablement nécessaire.
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Vol 22 - N° 462
P. 18-19 - novembre 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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