Fusion vertébrale antérieure progressive : à propos de trois cas - 23/01/12
Résumé |
Nous rapportons une série de trois cas de fusion vertébrale antérieure progressive diagnostiqués et suivis dans notre institution. Cette affection très rare a été découverte chez de jeunes enfants, en explorant une déviation rachidienne. Les radiographies du rachis thoracolombaire ont permis de faire le diagnostic positif et d’assurer le suivi. La sémiologie radiographique est caractéristique et associe pincement discal antérieur, érosions bien limitées des coins vertébraux antérieurs et ankylose intervertébrale antérieure, puis postérieure. L’IRM est très utile pour apprécier, de manière non irradiante, l’étendue de l’ankylose intervertébrale et l’état des disques résiduels. L’affection évolue sur plusieurs mois ou années. Un traitement conservateur est habituellement suffisant.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Fusion vertébrale antérieure progressive, Syndrome de Copenhague, Radiographie, Scanner, IRM
Plan
Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais celle de l’article original paru dans Diagnostic and Interventional Imaging, en utilisant le DOI ci-dessus. |
Vol 93 - N° 1
P. 55-59 - janvier 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.