Numerous experimental studies showed that the phytoplankton  -to-Carbon ratio ( :C) is highly variable, whereas most of the marine ecosystem models use a constant ratio. In this work, we tested three different formulations for computing the modelled   in a 3D coupled hydrodynamical-biogeochemical model of the Southwest lagoon of New Caledonia. The first formulation considers a constant  :C ratio. In the second one,   is a diagnostic variable related to the variable phytoplankton nitrogen-to-carbon ratio. In the last formulation,   is a state variable of the model, which is dynamically simulated. Results showed important differences between the formulations, the first leading to overestimate the   concentration in low nutrients conditions. Thus, this study strengthens the importance of the   modelling in a coupled model in order to better estimate a crucial variable for validation of ecosystem models. To cite this article: V. Faure et al., C. R. Biologies 329 (2006).

De nombreuses études expérimentales ont montré que le rapport entre la chlorophylle a et le carbone phytoplanctonique ( C) est fortement variable, alors que la plupart des modèles dʼécosystème marin utilisent un rapport constant. Dans ce travail, nous avons testé trois formulations différentes pour calculer la valeur modélisée de   dans un modèle 3D hydrodynamique-biogéochimique du lagon du Sud-Ouest de Nouvelle-Calédonie. La première formulation considère un rapport  C constant. Dans la seconde, la   est une variable diagnostique reliée au rapport variable azote sur carbone phytoplanctonique. Dans la dernière formulation, la   est une variable dʼétat du modèle, qui est simulée dynamiquement. Les résultats montrent des différences importantes entre les formulations, la première conduisant à surestimer la concentration en   en situation de faibles ressources en nutriments. Cette étude renforce donc lʼimportance de la modélisation de la   dans un modèle couplé, afin de mieux estimer une variable cruciale pour la validation des modèles dʼécosystèmes. Pour citer cet article : V. Faure et al., C. R. Biologies 329 (2006).