Nouveaux traitements de l’hépatite C chronique - 03/02/12
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The current treatment of chronic hepatitis C since several years, the association of pegylated interferon and ribavirine, allows to obtain a virological eradication in 55% of patients, all genotypes and 45% of those infected with the genotype 1, the most prevalent.
The cure, defined by an undetectable viremia 24 weeks after the discontinuation of treatment is associated to a improvement of the prognosis of the patients with a decrease of mortality and morbidity.
The development of news antiviral C molecules, efficient against the genotype 1, two protease inhibitors, boceprevir or telaprevir (which approval has been recently obtained), in association with pegylated interferon and ribavirine, allows to obtain a viral eradication in 70 to 75% of cases, with a reduction of treatment duration to 24 weeks in half of patients.
This evolution will modify the therapeutic indications, the therapeutic schemas, the virologic follow-up, the risk factors of sustained virological reponse, the tolerance with the appearance of new adverse effects.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Points essentiels |
La bithérapie par interféron pégylé et ribavirine, traitement de référence de l’hépatite chronique C depuis des années, permet de guérir globalement 55 % des patients, tous génotypes confondus et 45 % de ceux infectés par le génotype 1, le plus fréquent.
La guérison, définie par une négativation de la virémie 24 semaines après l’arrêt du traitement, est associée à une amélioration pronostique des patients par le biais d’une diminution de la mortalité et de la morbidité.
Le développement de nouvelles molécules antivirales C, efficaces contre les souches de génotype 1, deux inhibiteurs de protéase, le boceprevir ou le telaprevir (dont l’autorisation de mise sur le marché a été obtenue le 15 juillet 2011 pour le premier et devrait l’être vers la fin de septembre 2011 pour le second), permet, en association avec l’interféron pégylé et la ribavirine, de guérir 70 à 75 % des patients, avec une réduction à 24 semaines de la durée de traitement pour la moitié des patients.
Ceci représente un véritable tournant dans la prise en charge, en modifiant les indications, les schémas thérapeutiques, la surveillance virologique, les facteurs prédictifs de réponse au traitement et la gestion de sa tolérance avec l’apparition de nouveaux effets secondaires.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Plan
Vol 41 - N° 2
P. 138-145 - février 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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