Rein et infection par le virus de l’immunodéficience humaine - 14/03/12
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Key points |
Screening of chronic kidney disease (CKD) that includes estimation of the glomerular filtration rate (GFR) and evaluation proteinuria should be performed in all HIV-infected patients and these parameters have to be monitored annually in patients at higher risk for CKD.
Black patients have a genetic predisposition to develop HIV-associated nephropathy.
Suppression of HIV viral replication with antiretroviral therapy prevents the development of HIV-associated nephropathy or halts its progression.
Kidney biopsy remains the most informative diagnosis test to differentiate various forms of kidney diseases in HIV-infected patients.
Dosing antiretroviral agents with kidney metabolism should be adjusted when eGFR is bellow 50mL/min/1.73m2.
eGFR and serum phosphorus at baseline and during treatment should be carefully assessed in patients receiving tenofovir. Proximal renal tubular toxicity must be further evaluated in the presence of eGFR decrease and/or hypophosphatemia under tenofovir therapy.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Points essentiels |
La recherche d’une maladie rénale chronique par l’évaluation du DFG et la recherche d’une protéinurie doit être systématique, au diagnostic, chez tout patient infecté par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et répétée annuellement en présence d’un risque rénal particulier.
Les sujets originaires d’Afrique subsaharienne ont une prédisposition génétique au développement de l’HIV-associated nephropathy (HIVAN).
Seul un contrôle immunovirologique optimal permet de stabiliser une HIVAN, voire de prévenir son apparition. Les indications de la biopsie rénale chez le patient infecté par le VIH sont larges compte tenu de la complexité des atteintes parenchymateuses glomérulaires et tubulo-interstitielles qui sont parfois combinées.
L’adaptation posologique des antirétroviraux à élimination rénale débute dès que le DFG est inférieur à 50mL/min/1,73m2. Le DFG et la phosphorémie à jeun doivent être évalués avant l’instauration du ténofovir, puis surveillés régulièrement sous traitement. Des signes de tubulopathie proximale doivent être recherchés en cas d’hypophosphorémie et/ou d’altération du DFG.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Plan
Vol 41 - N° 3P1
P. 267-275 - mars 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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