Mécanismes et diagnostic des dyspnées - 02/07/12
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La dyspnée, sensation subjective d'inconfort respiratoire, est un mode révélateur de nombreuses pathologies pulmonaires, neuromusculaires ou hématologiques. Les mécanismes physiopathologiques conduisant à cette sensation de dyspnée sont multiples : centraux ou périphériques avec des voies afférentes véhiculant des signaux issus de récepteurs pulmonaires et bronchiques, localisés au niveau de la paroi thoracique ou des voies aériennes supérieures ainsi que de chémorécepteurs sensibles à la pression artérielle en oxygène et à la pression artérielle en gaz carbonique. Sur le plan clinique, la dyspnée, symptôme d'interprétation parfois difficile par le patient, peut être quantifiée de façon plus précise par différentes échelles d'évaluation tandis que l'examen clinique aide à caractériser le type de dyspnée et à s'orienter vers l'étiologie de ce symptôme. Néanmoins, la démarche diagnostique est différente selon le caractère aigu ou chronique de la dyspnée. Une analyse plus objective de la dyspnée, notamment chronique, est obtenue lors de la réalisation d'un test de marche de 6minutes, voire d'une épreuve d'effort cardiopulmonaire avec ou sans étude des échanges gazeux. Cette dernière exploration permet de quantifier la tolérance à l'effort et d'évaluer dans le même temps l'ensemble des fonctions pulmonaire, cardiaque et musculaire pouvant contribuer à la survenue d'une dyspnée.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Dyspnée, Mécanismes physiopathologiques de la dyspnée, Diagnostic de la dyspnée
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