Peut-on réellement se soigner sans consentement ? - 11/07/12
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Résumé |
La loi du 5 juillet 2011 suit deux logiques distinctes : celle du pan sécuritaire et celle de la protection des personnes par l’intervention du juge des libertés et de la détention (JLD)
Le programme de soins s’inscrit alors comme un internement au domicile, spoliant la sincérité de la relation de confiance recherchée par les soignants
La présentation systématique des patients hospitalisés sous contrainte devant le JLD risque de forcer l’amalgame entre soins et délinquance
Point de vue du Collectif des 39 contre la nuit sécuritaire.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Abstract |
The law of July 5th, 2011 focuses on two distinct areas: the security aspect and that of the protection of people through the intervention of the liberties and detention judge. The care programme thus resembles house arrest, despoiling the sincerity of the trust-based relationship sought by caregivers. The systematic appearance of patients hospitalised under restraint before the liberty and detention judge risks creating confusion between care and delinquency. This article gives the viewpoint of the “39 contre la nuit sécuritaire” collective.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Clinique, Dangerosité, Folie, Psychiatrie sécuritaire, Programme de soins, Souffrance
Key words : Care programme, Clinic, Dangerousness, Insanity, Security-based psychiatry, Suffering
Plan
Vol 33 - N° 281
P. 18-21 - juillet 2012 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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