Scanner, imagerie par résonance magnétique et tomographie par émission de positons au 18-fluorodéoxyglucose dans les tumeurs de l'ovaire - 09/10/12
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Résumé |
L'échographie reste l'examen de première intention dans l'exploration d'une masse pelvienne. Dans les cas où elle ne permet pas un diagnostic de typage de lésion bénigne ou de situer l'origine ovarienne certaine d'une masse pelvienne, l'IRM est le second examen à réaliser. En effet, l'IRM permet de lever l'incertitude dans le plus grand nombre de cas et d'orienter correctement les patientes pour une prise en charge adaptée. La majorité des lésions organiques de l'ovaire sont bénignes et il faut éviter une chirurgie inappropriée. Pour la minorité de patientes qui présentent un cancer de l'ovaire localisé, l'IRM permettra d'éviter des contrôles échographiques qui retardent la prise en charge. Enfin, les patientes qui présentent une lésion ovarienne manifestement maligne, avec déjà une extension extraovarienne, doivent bénéficier d'un examen tomodensitométrique pour apprécier l'extension lésionnelle en vue d'une chirurgie radicale. Dans cette indication, le TEP paraît devoir trouver sa place. Actuellement, elle est encore limitée au diagnostic et au bilan préthérapeutique des récidives des néoplasmes ovariens.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Tumeurs de l'ovaire, Échographie, IRM, TEP scan, 18-fluorodéoxyglucose (18-FDG)
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