Questions - 20/11/12
A | Toute dysphagie impose la réalisation d’une endoscopie œsogastroduodénale |
B | La dysphagie est paradoxale en cas de compression extrinsèque de l’œsophage |
C | Une dysphagie intermittente est en faveur d’une étiologie organique |
D | Une dysphagie peut être en rapport avec une infiltration de la muqueuse œsophagienne par des polynucléaires éosinophiles |
E | La découverte de spasmes du bas œsophage chez un sujet âgé nécessite la réalisation d’une écho-endoscopie œsophagienne |
A | Est progressivement croissante pour les solides puis les liquides |
B | Peut-être intermittente au début de l’évolution |
C | N’est pas constamment associée à une perte de poids |
D | Ne s’associe jamais à des symptômes de reflux gastro-œsophagien |
E | N’est jamais douloureuse |
A | La prescription d’anticholinergiques |
B | La cardiomyotomie |
C | La prescription d’antispasmodiques |
D | La résection chirurgicale du {1/3} inférieur de l’œsophage |
E | La dilatation pneumatique du cardia |
A | Les symptômes peuvent être dus à une hypersensibilité viscérale |
B | Les troubles de la motricité digestive sont exclusivement coliques |
C | Les troubles moteurs sont favorisés par le stress |
D | Un syndrome de l’intestin irritable peut être post-infectieux |
E | Le microbiote intestinal est normal au cours du syndrome de l’intestin irritable |
A | Elle touche exclusivement le côlon gauche |
B | Elle est due à une alimentation trop riche en fibres |
C | Elle est symptomatique chez la majorité des malades |
D | Elle est plus fréquente chez les sujets âgés |
E | Elle favorise la survenue d’un cancer colique |
A | Elle se traduit habituellement par une diarrhée |
B | Elle peut être favorisée par un traitement par anti-inflammatoires non stéroïdiens |
C | Elle peut se compliquer d’un abcès péricolique |
D | Son traitement médical repose sur les désinfectants intestinaux |
E | Une résection de la zone diverticulaire infectée doit être proposée dès le premier épisode de diverticulite |
A | Hémorragie digestive sous forme de rectorragies |
B | Hémorragie digestive sous forme de melaena |
C | Péritonite |
D | Volvulus sigmoïdien |
E | Fistulisation dans la vessie avec pneumaturie |
A | Une endoscopie digestive haute |
B | Une pH-métrie œsophagienne |
C | Une manométrie œsophagienne |
D | Un traitement symptomatique sans exploration |
E | Un transit baryté œsophagien |
A | Grossesse |
B | Achalasie |
C | Sclérodermie |
D | Obésité |
E | Traitement anti-parkinsonien |
A | Manométrie œsophagienne |
B | Transit œsogastroduodénal |
C | Impédancemétrie œsophagienne |
D | Écho-endoscopie |
E | PHmétrie œsophagienne |
A | Il peut être acide ou non acide |
B | Il est favorisé par les relaxations transitoires du sphincter inférieur de l’œsophage |
C | Il se complique d’œsophagite dans 50% des cas |
D | L’endobrachyœsophage correspond à une métaplasie intestinale du bas œsophage favorisée par le reflux |
E | Il est prévenu par un traitement anti-calcique |
A | Ils doivent être prescrits à demi-dose en l’absence d’endoscopie |
B | Un RGO nocturne justifie une prise d’IPP plutôt le soir avant le dîner |
C | Le traitement par IPP se fait à la demande en cas d’œsophagite |
D | Le traitement par IPP est efficace dans plus de 90% des cas sur les symptômes de RGO |
E | Un traitement par IPP en continu est systématique en cas d’endobrachyœsophage |
A | On parle de constipation lorsque le transit n’est pas quotidien |
B | Une constipation peut être liée à un trouble de la statique rectale |
C | La coloscopie est indispensable chez tous les malades pour affirmer le diagnostic de constipation fonctionnelle |
D | L’apport quotidien en fibres pour soulager une constipation doit être de 5 grammes/jour |
E | Les laxatifs osmotiques sont le traitement de première intention |
A | Sulfate de magnésium |
B | Opiacés |
C | Amoxicilline |
D | Antidépresseurs |
E | Sels de fer |
A | Toute hernie hiatale par glissement se complique d’un reflux gastro-œsophagien |
B | Une hernie hiatale peut être à l’origine d’une anémie ferriprive |
C | L’étranglement est la complication de la hernie hiatale par roulement |
D | L’âge n’influence pas la fréquence de la hernie hiatale |
E | Toute hernie hiatale doit être opérée |
A | La douleur abdominale est calmée par l’émission de selles |
B | La douleur abdominale est souvent matinale ou postprandiale |
C | Dans les formes avec diarrhée, la diarrhée a les caractères d’une diarrhée de malabsorption |
D | La coloscopie est indispensable chez tous les malades pour affirmer le diagnostic |
E | Les antispasmodiques sont proposés comme traitement de première intention |
A | L’amibiase intestinale |
B | La yersiniose |
C | La maladie de Crohn |
D | La tuberculose intestinale chez les immigrés non vaccinés |
E | La rectocolite hémorragique |
A | Les sténoses |
B | Le cancer rectocolique |
C | La malabsorption des micronutriments |
D | Les fistules |
E | Les abcès |
A | Est une cause fréquente de diarrhée du voyage |
B | Est rare dans les pays développés |
C | Doit faire rechercher un déficit immunitaire dans sa forme chronique |
D | Est responsable d’une diarrhée hémorragique |
E | Est presque toujours diagnostiquée dès le premier examen parasitologique standard des selles |
A | Peut se transmettre par l’ingestion de viande bovine cuite brune à cœur |
B | Est une des causes possibles d’hyperéosinophilie chronique |
C | Est souvent révélé par la présence d’anneaux dans les sous-vêtements |
D | Peut être responsable d’asthénie et de perte de poids |
E | Doit être traitée en première intention par le métronidazole |
A | L’amibiase intestinale est due à Entamoeba dispar |
B | Le mode de transmission habituel de l’amibiase est féco-oral |
C | La recherche de formes végétatives d’amibes fait partie de l’examen parasitologique standard des selles |
D | La forme clinique dysentérique aiguë constitue la présentation clinique habituelle |
E | Le traitement probabiliste est licite devant une diarrhée au retour d’un pays d’endémie |
A | Peut toucher jusqu’à un voyageur sur deux |
B | Correspond le plus souvent à une infection intestinale virale |
C | Est le plus souvent bénigne |
D | Doit faire évoquer un accès palustre en pays d’endémie lorsqu’une fièvre s’y associe |
E | Est dite prolongée lorsqu’elle dure plus d’un mois |
A | Des antiseptiques intestinaux |
B | Une hydratation |
C | Un apport en glucose |
D | Des antibiotiques |
E | Un apport en sodium |
A | L’hyperthyroïdie |
B | Les débâcles diarrhéiques sur fond de constipation |
C | La maladie cœliaque |
D | Les évacuations répétées du syndrome rectal |
E | L’incontinence anale permanente isolée |
A | Les selles sont d’horaire réparti sur le nycthémère |
B | Les selles nocturnes sont fréquentes |
C | La présence de résidus alimentaires non digérés est souvent notée par les patients |
D | La perte de poids est fréquente |
E | Un certain degré d’impériosité des selles est habituel |
A | Bacillus cereus |
B | Salmonella typhi |
C | Escherichia coli entéro-toxinogènes |
D | Staphylococcus aureus |
E | Candida albicans |
A | L’hygiène des mains |
B | La filtration systématique de «l’eau du robinet» des circuits d’eaux municipaux dans les pays développés |
C | Le respect des règles de conservation des aliments |
D | Le respect des règles de préparation des aliments |
E | L’achat des fruits et légumes en grandes surfaces |
A | Sont définies par au moins 10 cas groupés similaires d’épisodes digestifs dont on peut rapporter la cause à une même origine alimentaire |
B | Doivent être déclarées aux autorités sanitaires |
C | Peuvent être dues à Escherichia coli entéro-hémorragique |
D | Sont en général véhiculées par l’eau |
E | Peuvent faire courir un risque vital en fonction du germe et du terrain |
A | Sont définies par l’évacuation de plus de 4 selles liquides par jour depuis moins de deux semaines |
B | Sont habituellement bénignes et résolutives en moins de trois jours |
C | Représentent un motif de consultation très fréquent en médecine générale |
D | Peuvent être graves en cas de déshydratation importante et dans le cas de germes et de terrains particuliers |
E | Ne nécessitent pas dans la majorité des cas en première intention la prescription d’examens biologiques et de traitements anti-infectieux |
A | Diarrhée sous antibiotiques s’accompagnant de fièvre |
B | Syndrome dysentérique |
C | Fièvre inférieure à 38,5 °C et vomissements |
D | Terrain de valvulopathie cardiaque opérée |
E | Déshydratation sévère |
A | Des antiseptiques intestinaux |
B | Une réhydratation |
C | Des apports alimentaires importants en glucose/amidon |
D | Des apports alimentaires en sodium |
E | Des conseils d’hygiène |
A | Parfaitement homogène |
B | Parfaitement anéchogène avec un renforcement postérieur des échos à l’échographie |
C | Hypodense sur les images de tomodensitométrie sans injection |
D | Fortement hyperintense sur les séquences d’IRM pondérées en T2 |
E | Avec une paroi décelable avant et après injection de produit de contraste |
A | Le diagnostic nécessite toujours une biopsie hépatique |
B | Est une tumeur bénigne |
C | Elle est favorisée par la prise prolongée de contraceptifs oraux |
D | Une transformation maligne est possible |
E | Ne nécessite aucun suivi |
A | Une tumeur bénigne |
B | Très rare |
C | Hyperéchogène à l’échographie |
D | Parfois multiple |
E | À surveiller dans tous les cas |
A | Se développe presque toujours sur une maladie chronique du foie |
B | Au cours de la cirrhose, l’incidence du carcinome hépatocellulaire est de l’ordre de 2 à 5% par an |
C | Est vascularisé exclusivement par la veine porte |
D | L’augmentation de l’alphafœtoprotéine est un marqueur très sensible et très spécifique de cette tumeur |
E | Un taux d’alphafœtoprotéine > 50 ng/mL suggère fortement qu’un carcinome hépatocellulaire est présent |
A | Le sexe féminin |
B | L’âge |
C | La durée d’évolution de la maladie du foie |
D | Le diabète |
E | L’alcool |
A | La présence d’une cirrhose |
B | Nodule de plus de 2cm |
C | Rehaussement artériel du nodule à l’imagerie |
D | Lavage ou «wash out» au temps portal |
E | Élévation de l’alphafœtoprotéine |
A | Les cancers du sein |
B | Les adénocarcinomes du tube digestif et du pancréas |
C | Les carcinomes anaplasiques |
D | Les mélanomes malins |
E | Les tumeurs endocrines |
A | Nodules hypoéchogènes |
B | Nodules hypodenses avant injection de produit de contraste |
C | Peuvent prendre un aspect kystique |
D | Généralement n’ont pas de paroi |
A | Cirrhose sans infection |
B | Insuffisance cardiaque |
C | Syndrome de Budd Chiari |
D | Syndrome néphrotique |
E | Tuberculose péritonéale |
A | Peut être découverte de manière fortuite par l’examen du liquide d’ascite sans signe d’appel |
B | Le diagnostic est fait par le décompte des polynucléaires dans le liquide d’ascite > 250/mm3 |
C | Le diagnostic exige l’isolement d’une bactérie dans le liquide d’ascite |
D | L’infection est souvent polymicrobienne |
E | Le traitement nécessite une antibiothérapie associée à la perfusion d’albumine |
A | Est généralement pauvre en protéine (< 25 g/L) |
B | Est généralement riche en leucocytes (> 1 000/mm3) |
C | Les lymphocytes y prédominent (>70%) |
D | La recherche de BK est fréquemment positive à la culture de l’ascite |
E | Le diagnostic est fait par la biopsie du péritoine sous cœlioscopie |
A | Est souvent riche en protéine (>25 g/L) |
B | Le taux de leucocytes peut y être élevé (>250/mm3) |
C | Les cellules tumorales sont constamment présentes à l’examen cytologique de l’ascite |
D | Un syndrome d’obstruction intestinale incomplète est fréquent |
A | Est favorisé par l’exposition aux benzènes |
B | L’ascite est souvent riche en protéine (>25g/L) |
C | Le taux de leucocytes peut y être élevé (>250/mm3) |
D | Les cellules tumorales sont fréquemment présentes à l’examen cytologique du liquide d’ascite |
A | Repose sur la coloscopie pour tous à partir de 50 ans |
B | S’adresse aux sujets présentant des symptômes digestifs ou évocateurs |
C | Ne s’adresse qu’aux sujets à risque élevé ou très élevé de cancer colorectal |
D | S’adresse à la population à risque moyen de cancer colorectal |
E | Comporte la pratique d’un test de recherche de sang microscopique dans les selles suivi d’une coloscopie si le test est positif |
A | Représente environ 25% des cancers colorectaux |
B | Est associé à une incidence élevée de cancers colorectaux familiaux au 1er degré et à un âge plus jeune que dans la population générale |
C | Est caractérisé par une mutation constitutionnelle d’un des gènes MMR qui expose à un risque très élevé de cancer colique mais aussi d’autres organes (par exemple estomac, utérus chez la femme) |
D | Est de transmission autosomique récessive |
E | Est associé à la survenue de cancers ayant un phénotype instable (MSI ou dMMR) |
A | La survie à 5 ans d’environ 50% est indépendante du stade de la maladie |
B | La coloscopie permet la recherche et l’ablation de polypes colorectaux éventuellement associés au cancer colique |
C | La TDM (tomodensitométrie) thoraco-abdomino-pelvienne fait partie du bilan pré-thérapeutique indispensable |
D | Le traitement curatif est chirurgical |
E | La chimiothérapie n’a pas de place dans le traitement du cancer colique traité chirurgicalement |
A | La discussion en réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) sur la prise en charge thérapeutique intervient dès la période post-opératoire |
B | L’IRM pelvienne est utile à la décision thérapeutique |
C | La radiothérapie ou la radiochimiothérapie pre-opératoires n’ont plus de place depuis l’avènement de la chirurgie d’exérèse emportant le mésorectum avec la tumeur |
D | L’existence d’une polypose adénomateuse colique familiale doit conduire à une coloprotectomie totale |
E | La séquence adénome-cancer est exceptionnelle, le cancer survenant presque toujours de novo. |
A | Test Hémoccult II® |
B | Rectoscopie au tube rigide |
C | Coloscopie |
D | IRM pelvienne |
E | Manométrie anorectale |
A | Une chimiothérapie adjuvante est toujours indiquée pour un cancer du côlon droit opéré et classé pT3N0M0 |
B | Un traitement néo-adjuvant n’est jamais indiqué dans le cadre de la prise en charge d’un adénocarcinome du bas rectum |
C | En l’absence de contre-indication, une chimiothérapie à base de 5-fluorouracile et d’oxaliplatine est indiquée pendant une durée de 6 mois après l’exérèse d’un cancer du sigmoïde de stade III |
D | Dans le cadre de la prise en charge thérapeutique d’un cancer du côlon droit asymptomatique avec présence d’adénopathies locorégionales au scanner thoraco-abdomino-pelvien sans lésion suspecte à distance et en l’absence de contre-indication, une chimiothérapie néo-adjuvante comprenant un médicament anti-angiogénique est généralement indiquée avant la résection chirurgicale de la lésion |
E | Dans le cadre de la prise en charge du cancer du rectum, la radio-chimiothérapie pré-opératoire, quand elle est indiquée, diminue significativement le risque de récidive locale comparée à l’absence de radio-chimiothérapie pré-opératoire |
A | La cicatrisation sous IPP d’une lésion ulcérée gastrique permet de distinguer ulcère bénin et cancer ulcéré |
B | L’atrophie et la métaplasie intestinale au cours de la gastrite chronique sont des lésions pré-cancéreuses |
C | L’infection antrale par Helicobacter pylori protège contre le risque de cancer gastrique |
D | L’adénocarcinome et le carcinome épidermoïde de l’estomac sont les 2 cancers les plus fréquents |
E | Le diagnostic des tumeurs épithéliales gastriques repose sur l’écho-endoscopie avec biopsies |
A | N’explique que 1% des cancers gastriques |
B | N’est pas un facteur suffisant de carcinogénèse gastrique |
C | Est un facteur reconnu de cancérogénèse gastrique (adénocarcinome) |
D | Est également un facteur de survenue de lymphome gastrique du MALT |
E | Doit être recherchée et traitée dans la famille au 1er degré des patients présentant un adénocarcinome gastrique |
A | Une alimentation riche en fibres |
B | Une alimentation riche en sel |
C | Des antécédents familiaux de cancer de l’estomac |
D | Une infection chronique à Helicobacter pylori |
E | Une atrophie gastrique avec métaplasie intestinale |
A | Tabac et alcool sont 2 facteurs de risque principaux du cancer épidermoïde |
B | Reflux gastro-œsophagien et obésité sont 2 facteurs de risque de l’adénocarcinome |
C | L’endobrachy-œsophage (EBO) est une lésion précancéreuse de l’adénocarcinome |
D | La surveillance endoscopique des EBO a permis une nette diminution de la mortalité par adénocarcinome |
E | La survie globale du cancer de l’œsophage est aujourd’hui d’environ 40% à 5 ans |
A | La dysphagie élective pour les liquides est le maître symptôme |
B | Le diagnostic repose sur l’endoscopie avec biopsies |
C | Le TEP scan au FDG est inutile si la TDM thoraco-abdomino-pelvienne ne montre pas de métastases |
D | Le traitement endoscopique curatif est réservé à certaines petites tumeurs superficielles |
E | La radiochimiothérapie exclusive ou pré-opératoire est indiquée dans les tumeurs localement avancées stade III |
A | Une panendoscopie ORL |
B | Une écho-endoscopie haute en cas de petite tumeur |
C | Un scanner thoracique |
D | Un scanner cérébral |
E | Une évaluation de l’état général |
A | Survient sur un terrain éthylo-tabagique |
B | Peut compliquer un endobrachyœsophage |
C | Peut être traité chirurgicalement s’il est métastatique |
D | Peut être diagnostiqué par une coloscopie |
E | Représente une proportion croissante des cancers de l’œsophage |
A | Est plus fréquent chez l’homme |
B | Entraîne principalement une dysphagie |
C | Ne peut être responsable d’une hémorragie digestive haute |
D | Est toujours infranchissable en endoscopie |
E | Ne peut pas être opéré en cas d’insuffisance respiratoire sévère |
A | Rupture de l’œsophage |
B | Déchirure du bas œsophage (syndrome de Mallory Weiss) |
C | Insuffisance rénale |
D | Dénutrition |
E | Pneumopathie par inhalation |
A | Une réhydratation en milieu hospitalier est parfois nécessaire |
B | La pose d’une sonde d’aspiration gastrique nécessite une intubation trachéale préalable |
C | Le traitement par antiémétiques doit être instauré quelle que soit la cause du vomissement |
D | Les antiémétiques usuels comportent le métoclopramide, le dompéridone et la métopimazine |
E | Les sétrons et l’aprépitant sont réservés au traitement des vomissements induits par les opiacés |
A | Déshydratation extra et/ou intracellulaire |
B | Alcalose respiratoire |
C | Hématémèse |
D | Hyperglycémie |
E | Pneumopathie d’inhalation |
A | Un syndrome abdominal aigu |
B | Un syndrome coronarien aigu |
C | Une acido-cétose diabétique |
D | Une hypertension intracrânienne |
E | Une occlusion intestinale |
A | Un syndrome abdominal aigu |
B | Un syndrome coronarien aigu |
C | Une acido-cétose diabétique |
D | Une hypertension intracrânienne |
E | Une occlusion intestinale |
A | Le terrain et les comorbidités peuvent permettre d’orienter le diagnostic étiologique |
B | Les affections gastriques et pancréato-biliaires sont plus fréquentes avant 30 ans |
C | L’état général à l’admission du patient est une donnée très importante |
D | Une douleur à la décompression élimine une irritation péritonéale |
E | Un silence auscultatoire peut-être considéré comme un critère de gravité |
A | La numération formule sanguine et le ionogramme sanguin n’ont aucun intérêt |
B | Une élévation de la lipasémie à plus de 3 fois la normale signe la pancréatite aiguë |
C | La réalisation d’un électrocardiogramme doit être systématique |
D | Le dosage des β-HCG n’a aucun intérêt |
E | Une imagerie doit toujours être réalisée |
A | La radiographie d’abdomen sans préparation remplace avantageusement le scanner abdominal |
B | La radiographie du thorax est utile pour éliminer une cause pleurale ou pulmonaire |
C | L’échographie abdominale est l’examen de première intention en cas de syndrome occlusif |
D | S’il est disponible, le scanner abdominal est l’examen radiologique de choix en cas de douleur abdominale aiguë inexpliquée |
E | Le scanner est l’examen de première intention en cas de suspicion de diverticulite sigmoïdienne |
A | Une péricardite peut se manifester par une douleur hypogastrique |
B | Les douleurs de colique hépatique sont toujours localisées à l’hypochondre droit |
C | Un ulcère perforé peut se révéler par une douleur de l’hypochondre droit |
D | Une insuffisance surrénale aiguë peut se révéler par une douleur abdominale aiguë |
E | Une contracture abdominale peut être observée au cours de la maladie périodique |
A | Peut s’exprimer par les mêmes symptômes qu’un cancer du côlon ou du rectum |
B | Doit toujours faire réaliser une coloscopie |
C | En cas de thrombose hémorroïdaire, la douleur dure plus longtemps qu’en cas de crise hémorroïdaire simple |
D | Le troisième trimestre de grossesse, l’accouchement et le post-partum immédiat sont des facteurs de risque de la survenue de symptômes hémorroïdaires |
E | L’hémorragie hémorroïdaire est typiquement du sang noir mélangé aux matières |
A | Les thromboses hémorroïdaires externes se présentent sous forme de tuméfactions douloureuses bleutées |
B | La pathologie hémorroïdaire peut coexister avec la présence d’une fissure anale |
C | Le diagnostic de la maladie hémorroïdaire repose sur les données de l’interrogatoire et de l’examen clinique |
D | Le traitement médical repose sur les règles hygiéno-diététiques, la régularisation du transit, les veinotoniques et les topiques locaux |
E | Les traitements instrumentaux et chirurgicaux constituent le traitement de fond le plus efficace de la maladie hémorroïdaire interne |
A | L’infection à Helicobacter pylori est beaucoup plus fréquente dans les pays développés |
B | L’incidence des ulcères gastroduodénaux est en augmentation dans les pays développés |
C | Les AINS induisent une inhibition de la synthèse des prostaglandines pouvant favoriser la survenue d’ulcères gastriques |
D | L’aspirine à faible dose n’a pas d’effet ulcérogène |
E | L’ulcère duodénal du syndrome de Zollinger-Ellison est lié à une hypersécrétion acide induite par une inhibition de la gastrine |
A | La douleur de type ulcéreuse est toujours de siège épigastrique |
B | L’endoscopie œsogastroduodénale permet la réalisation de biopsies antrales et fundiques à la recherche d’Helicobacter pylori quelle que soit la localisation de l’ulcère |
C | Le diagnostic d’infection à Helicobacter pylori ne peut se faire que sur des biopsies gastriques |
D | L’hémorragie digestive est la complication la plus fréquente des ulcères gastro-duodénaux |
E | La prise d’AINS favorise le risque de perforation ulcéreuse |
A | L’éradication d’Helicobacter pylori a peu d’influence sur l’histoire naturelle de la maladie ulcéreuse |
B | Le traitement d’éradication d’Helicobacter pylori repose sur une bithérapie d’une semaine associant un inhibiteur de la pompe à protons et un antibiotique |
C | En cas d’ulcère duodénal un traitement d’une semaine est toujours suffisant |
D | En cas d’ulcère gastrique, le traitement d’éradication d’Helicobacter pylori d’une semaine est systématiquement complété par 3 à 7 semaines supplémentaires d’inhibiteur de la pompe à protons |
E | L’échec du traitement d’éradication de première ligne est estimé, en France, à 30% |
A | La gastrite est une entité histologique et non clinique ou endoscopique |
B | Les gastrites à Helicobacter pylori concernent 20 à 50% de la population française |
C | Les gastrites atrophiantes n’évoluent jamais vers la cancérisation |
D | La gastrite à Helicobacter pylori n’évolue pas vers l’atrophie |
E | La gastrite auto-immune est une gastrite hypertrophique |
A | La symptomatologie fonctionnelle est liée à la vitesse d’installation de l’anémie |
B | Une anémie par carence martiale est typiquement hypochrome microcytaire |
C | Une thrombocytose modérée est souvent associée à l’anémie par carence martiale |
D | La baisse de la ferritinémie est le critère le plus constant pour identifier la carence martiale |
E | Le diagnostic de thalassémie est apporté par l’électrophorèse de l’hémoglobine |
A | L’examen gynécologique fait partie du bilan de première intention |
B | Le bilan endoscopique n’est réalisé qu’en deuxième intention |
C | Dans le cadre d’un bilan d’anémie, la recherche de sang dans les selles par Hemoccult II® est fondamentale |
D | Si l’endoscopie œsogastroduodénale n’identifie pas de lésions, elle doit comporter systématiquement des biopsies duodénales |
E | La vidéocapsule endoscopique fait partie du bilan de première intention |
A | La réalisation d’une vidéocapsule ne présente aucune contre-indication |
B | L’entéroscopie est indiquée pour biopsier/traiter les lésions du grêle décelées par la vidéocapsule |
C | Le scanner n’a aucune place dans le bilan d’une anémie |
D | Un régime riche en fer est souvent suffisant pour traiter une carence martiale |
E | La prise d’acide ascorbique augmente l’absorption du fer d’environ 30% |
A | Le virus peut se transmettre par voie parentérale |
B | Le virus peut se transmettre par voie aérienne |
C | Le virus peut se transmettre par voie oro-fécale |
D | La transmission peut être prévenue par la vaccination |
E | La transmission peut être prévenue par des règles d’hygiène alimentaire |
A | La recherche d’anticorps anti-VHC par ELISA |
B | La recherche d’ARN du VHC par PCR |
C | La réalisation d’une biopsie hépatique |
D | L’évaluation non invasive de la fibrose hépatique |
E | La détermination du génotype viral |
A | La détermination du génotype viral |
B | La détermination de la charge virale |
C | L’évaluation de la sévérité de l’hépatopathie par la biopsie hépatique ou des marqueurs non invasifs |
D | La recherche de co-infections par le VHB ou le VIH |
E | La recherche d’auto-anticorps |
A | Est le plus souvent très bien toléré (effets secondaires exceptionnels) |
B | Est de courte durée (3 mois au maximum) |
C | Peut éradiquer complètement l’infection virale |
D | Dépend du génotype viral pour le choix des médicaments et la durée d’administration |
E | Est pris en charge par la caisse d’assurance maladie dans le cadre des affections à longue durée |
A | Hépatite fulminante |
B | Cirrhose |
C | Carcinome hépatocellulaire |
D | Vascularite par cryoglobulinémie |
E | Spondylarthrite ankylosante |
A | Est très peu fréquente dans le monde |
B | Peut se transmettre par voie sexuelle |
C | Peut se prévenir par la vaccination |
D | Est la principale cause de carcinome hépatocellulaire dans le monde |
E | Peut être à l’origine d’une hépatite fulminante |
A | Une progression obligée du portage chronique vers la cirrhose |
B | La possibilité de réactivation spontanée de la réplication virale et de la maladie hépatique |
C | La possibilité de survenue du carcinome hépatocellulaire en l’absence de cirrhose |
D | La possibilité d’élimination virale complète |
E | La possibilité de réactivation virale induite par un traitement immunosuppresseur, une chimiothérapie anti-cancéreuse, ou une biothérapie |
A | Les analogues de nucléosides permettent d’obtenir une viro-suppression chez la majorité des patients |
B | La viro-suppression induite par le traitement s’accompagne d’une amélioration des transaminases |
C | La viro-suppression induite par le traitement s’accompagne d’une amélioration de l’histologie hépatique |
D | Une élimination virale complète peut être obtenue avec l’interféron alpha ou les analogues de nucléosides |
E | Le traitement antiviral prévient complètement l’apparition du carcinome hépatocellulaire |
A | Une hémochromatose génétique |
B | Une maladie de Wilson |
C | Une hépatite virale A |
D | Une hépatite virale E |
E | Une hépatite auto-immune |
A | Peut être due à une consommation excessive d’alcool |
B | Peut être due à la prise de médicaments inducteurs enzymatiques |
C | Signe une cholestase hépatique |
D | Peut être due à une stéatose hépatique |
E | Est un signe de gravité de l’hépatopathie |
A | Une élévation de l’index de masse corporelle |
B | L’association à une hypertension artérielle, un déséquilibre glycémique et une dyslipidémie |
C | Un aspect hyperdense du foie à l’échographie abdominale |
D | L’association à une hyperferritinémie |
E | L’association à une hypergammaglobulinémie |
A | Peut être liée à un terrain génétique particulier |
B | Peut être d’origine immuno-allergique |
C | Peut être à l’origine d’hépatites fulminantes |
D | Peut évoluer vers des formes d’hépatopathie chronique |
E | Doit toujours être confirmée par un test de réintroduction du médicament suspecté |
A | Doit être évoqué devant une élévation de la saturation de la transferrine |
B | Peut s’associer à une élévation de la ferritinémie et du fer sérique |
C | S’accompagne d’une polyglobulie |
D | Doit s’accompagner d’un diagnostic génétique pour la recherche de mutations dans le gène HFE |
E | Une enquête familiale doit être réalisée car il s’agit d’une maladie autosomale dominante |
A | La surcharge hépatique en fer peut se quantifier par échographie abdominale |
B | La surcharge hépatique en fer doit être quantifiée par IRM hépatique |
C | L’hémochromatose peut se compliquer d’une cirrhose et d’un carcinome hépatocellulaire |
D | L’hémochromatose peut se compliquer d’un diabète non insulino-dépendant |
E | L’hémochromatose peut se compliquer d’une myocardiopathie |
A | Son objectif est d’obtenir une normalisation rapide du taux de saturation de la transferrine |
B | Son objectif est d’obtenir une disparition de la surcharge hépatique en fer |
C | Le traitement de première intention repose sur des chélateurs du fer |
D | Le traitement de première intention repose sur des phlébotomies |
E | Le traitement actuel repose sur une thérapie génique |
A | Une échinococcose alvéolaire |
B | Une amibiase hépatique |
C | Un paludisme chronique |
D | Un carcinome hépatocellulaire |
E | Des métastases d’un adénocarcinome colique |
A | Des épisodes répétés d’ivresse |
B | Une dysarthrie lors de la consommation d’alcool |
C | Syndrome de sevrage |
D | Une incapacité de réduire sa consommation et une obligation comportementale |
E | La prise d’une autre substance pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage |
A | La grande majorité des décès prématurés dus à l’alcool concerne des personnes dépendantes |
B | Le repérage précoce des consommateurs d’alcool à risque se fait essentiellement par l’entretien (questionnaires), plus que par les examens biologiques |
C | L’intervention brève s’adresse aux consommateurs à risque non alcoolo-dépendants |
D | L’intervention brève est efficace chez 50% des consommateurs à risque alcoolo-dépendants |
E | Les principales complications du sevrage alcoolique sont le delirium tremens et les convulsions |
A | Potassium |
B | Magnésium |
C | Calcium |
D | Phosphore |
E | Vitamine E |
A | Pâtes alimentaires |
B | Riz |
C | Bière |
D | Muesli |
E | Maïzena |
A | Insuffisance surrénale aiguë |
B | Hypercalcémie |
C | Acidocétose diabétique |
D | Maladie périodique |
E | Porphyries hépatiques |
A | Vous suspectez une migration lithiasique |
B | Vous suspectez une occlusion |
C | Vous examinez les orifices herniaires |
D | Vous réalisez un toucher rectal |
E | Vous adressez ce malade aux urgences |
A | Un niveau hydro-aérique unique |
B | Des niveaux hydro-aériques plus larges que hauts |
C | Des niveaux hydro-aériques plus hauts que larges |
D | De fines incisures allant d’un bord à l’autre de l’intestin dilaté |
E | De larges incisures asymétriques n’allant pas d’un bord à l’autre du côlon dilaté |
A | Vous suspectez en premier lieu une acidocétose |
B | Vous suspectez en premier lieu une hypoglycémie |
C | Vous appelez un chirurgien pour hernie étranglée |
D | Vous prescrivez un jeûne et une perfusion |
E | Vous surveillez la glycémie |
A | La contracture est parfois absente |
B | Les trois causes les plus fréquentes sont : ulcère perforé, la cholécystite compliquée et la perforation de diverticule sigmoïdien |
C | En cas de perforation d’ulcère gastrique ou duodénal, le pneumopéritoine est fréquent |
D | En cas de péritonite diverticulaire, le pneumopéritoine est souvent volumineux |
E | En cas de péritonite appendiculaire, il n’existe pas de pneumopéritoine |
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