Table des matières

Questions - 20/11/12

Doi : 10.1016/B978-2-294-71149-7.00041-9 



QCM 1
Quelles sont les trois propositions exactes concernant la dysphagie?
A
Toute dysphagie impose la réalisation d’une endoscopie œsogastroduodénale
B
La dysphagie est paradoxale en cas de compression extrinsèque de l’œsophage
C
Une dysphagie intermittente est en faveur d’une étiologie organique
D
Une dysphagie peut être en rapport avec une infiltration de la muqueuse œsophagienne par des polynucléaires éosinophiles
E
La découverte de spasmes du bas œsophage chez un sujet âgé nécessite la réalisation d’une écho-endoscopie œsophagienne
QCM 2
Dans l’achalasie, la dysphagie : (2 réponses exactes)
A
Est progressivement croissante pour les solides puis les liquides
B
Peut-être intermittente au début de l’évolution
C
N’est pas constamment associée à une perte de poids
D
Ne s’associe jamais à des symptômes de reflux gastro-œsophagien
E
N’est jamais douloureuse
QCM 3
Quelles sont les solutions thérapeutiques possibles dans l’achalasie? (2 bonnes réponses)
A
La prescription d’anticholinergiques
B
La cardiomyotomie
C
La prescription d’antispasmodiques
D
La résection chirurgicale du {1/3} inférieur de l’œsophage
E
La dilatation pneumatique du cardia
QCM 4
Quelles sont les propositions exactes concernant la physiopathologie du syndrome de l’intestin irritable? (3 bonnes réponses)
A
Les symptômes peuvent être dus à une hypersensibilité viscérale
B
Les troubles de la motricité digestive sont exclusivement coliques
C
Les troubles moteurs sont favorisés par le stress
D
Un syndrome de l’intestin irritable peut être post-infectieux
E
Le microbiote intestinal est normal au cours du syndrome de l’intestin irritable
QCM 5
Quelle est la proposition exacte concernant la diverticulose colique?
A
Elle touche exclusivement le côlon gauche
B
Elle est due à une alimentation trop riche en fibres
C
Elle est symptomatique chez la majorité des malades
D
Elle est plus fréquente chez les sujets âgés
E
Elle favorise la survenue d’un cancer colique
QCM 6
Quelles sont les propositions exactes concernant la diverticulite? (2 réponses exactes)
A
Elle se traduit habituellement par une diarrhée
B
Elle peut être favorisée par un traitement par anti-inflammatoires non stéroïdiens
C
Elle peut se compliquer d’un abcès péricolique
D
Son traitement médical repose sur les désinfectants intestinaux
E
Une résection de la zone diverticulaire infectée doit être proposée dès le premier épisode de diverticulite
QCM 7
Parmi les situations suivantes, quelles sont celles qui peuvent compliquer une diverticulose? (3 réponses exactes)
A
Hémorragie digestive sous forme de rectorragies
B
Hémorragie digestive sous forme de melaena
C
Péritonite
D
Volvulus sigmoïdien
E
Fistulisation dans la vessie avec pneumaturie
QCM 8
Chez un homme de 26 ans sans antécédent particulier qui consulte pour un pyrosis intermittent et isolé, vous prescrivez : (1 réponse exacte)
A
Une endoscopie digestive haute
B
Une pH-métrie œsophagienne
C
Une manométrie œsophagienne
D
Un traitement symptomatique sans exploration
E
Un transit baryté œsophagien
QCM 9
Parmi les situations suivantes, indiquez celles qui favorisent la survenue d’un reflux gastro-œsophagien : (3 réponses exactes)
A
Grossesse
B
Achalasie
C
Sclérodermie
D
Obésité
E
Traitement anti-parkinsonien
QCM 10
Parmi les examens suivants, quels sont ceux qui vous permettent le diagnostic de reflux gastro-œsophagien? (2 réponses exactes)
A
Manométrie œsophagienne
B
Transit œsogastroduodénal
C
Impédancemétrie œsophagienne
D
Écho-endoscopie
E
PHmétrie œsophagienne
QCM 11
Quelles sont les propositions exactes concernant le reflux gastro-œsophagien? (3 réponses exactes)
A
Il peut être acide ou non acide
B
Il est favorisé par les relaxations transitoires du sphincter inférieur de l’œsophage
C
Il se complique d’œsophagite dans 50% des cas
D
L’endobrachyœsophage correspond à une métaplasie intestinale du bas œsophage favorisée par le reflux
E
Il est prévenu par un traitement anti-calcique
QCM 12
Quelles sont les propositions exactes concernant le traitement du reflux gastro-œsophagien (RGO) par inhibiteurs de la pompe à protons (IPP)? (2 réponses exactes)
A
Ils doivent être prescrits à demi-dose en l’absence d’endoscopie
B
Un RGO nocturne justifie une prise d’IPP plutôt le soir avant le dîner
C
Le traitement par IPP se fait à la demande en cas d’œsophagite
D
Le traitement par IPP est efficace dans plus de 90% des cas sur les symptômes de RGO
E
Un traitement par IPP en continu est systématique en cas d’endobrachyœsophage
QCM 13
Quelles sont les propositions exactes concernant la constipation fonctionnelle? (2 réponses exactes)
A
On parle de constipation lorsque le transit n’est pas quotidien
B
Une constipation peut être liée à un trouble de la statique rectale
C
La coloscopie est indispensable chez tous les malades pour affirmer le diagnostic de constipation fonctionnelle
D
L’apport quotidien en fibres pour soulager une constipation doit être de 5 grammes/jour
E
Les laxatifs osmotiques sont le traitement de première intention
QCM 14
Parmi les médicaments suivants, quels sont ceux qui peuvent provoquer une constipation? (3 réponses exactes)
A
Sulfate de magnésium
B
Opiacés
C
Amoxicilline
D
Antidépresseurs
E
Sels de fer
QCM 15
Quelles sont les propositions exactes concernant la hernie hiatale? (2 réponses exactes)
A
Toute hernie hiatale par glissement se complique d’un reflux gastro-œsophagien
B
Une hernie hiatale peut être à l’origine d’une anémie ferriprive
C
L’étranglement est la complication de la hernie hiatale par roulement
D
L’âge n’influence pas la fréquence de la hernie hiatale
E
Toute hernie hiatale doit être opérée
QCM 16
Quelles sont les propositions exactes concernant le syndrome de l’intestin irritable? (3 réponses exactes)
A
La douleur abdominale est calmée par l’émission de selles
B
La douleur abdominale est souvent matinale ou postprandiale
C
Dans les formes avec diarrhée, la diarrhée a les caractères d’une diarrhée de malabsorption
D
La coloscopie est indispensable chez tous les malades pour affirmer le diagnostic
E
Les antispasmodiques sont proposés comme traitement de première intention
QCM 17
Devant des ulcérations iléales récentes étendues, les principaux diagnostics sont :
A
L’amibiase intestinale
B
La yersiniose
C
La maladie de Crohn
D
La tuberculose intestinale chez les immigrés non vaccinés
E
La rectocolite hémorragique
QCM 18
Les complications potentielles d’une maladie de Crohn colique étendue anciennes comportent :
A
Les sténoses
B
Le cancer rectocolique
C
La malabsorption des micronutriments
D
Les fistules
E
Les abcès
QCM 19
La giardiose : (2 réponses exactes)
A
Est une cause fréquente de diarrhée du voyage
B
Est rare dans les pays développés
C
Doit faire rechercher un déficit immunitaire dans sa forme chronique
D
Est responsable d’une diarrhée hémorragique
E
Est presque toujours diagnostiquée dès le premier examen parasitologique standard des selles
QCM 20
Le taeniasis :
A
Peut se transmettre par l’ingestion de viande bovine cuite brune à cœur
B
Est une des causes possibles d’hyperéosinophilie chronique
C
Est souvent révélé par la présence d’anneaux dans les sous-vêtements
D
Peut être responsable d’asthénie et de perte de poids
E
Doit être traitée en première intention par le métronidazole
QCM 21
Parmi les affirmations suivantes concernant l’amibiase intestinale, lesquelles sont vraies? (2 réponses exactes)
A
L’amibiase intestinale est due à Entamoeba dispar
B
Le mode de transmission habituel de l’amibiase est féco-oral
C
La recherche de formes végétatives d’amibes fait partie de l’examen parasitologique standard des selles
D
La forme clinique dysentérique aiguë constitue la présentation clinique habituelle
E
Le traitement probabiliste est licite devant une diarrhée au retour d’un pays d’endémie
QCM 22
Parmi les affirmations suivantes concernant la diarrhée du voyage, lesquelles sont vraies?
A
Peut toucher jusqu’à un voyageur sur deux
B
Correspond le plus souvent à une infection intestinale virale
C
Est le plus souvent bénigne
D
Doit faire évoquer un accès palustre en pays d’endémie lorsqu’une fièvre s’y associe
E
Est dite prolongée lorsqu’elle dure plus d’un mois
QCM 23
Le traitement de première intention de la diarrhée du voyageur doit comporter :
A
Des antiseptiques intestinaux
B
Une hydratation
C
Un apport en glucose
D
Des antibiotiques
E
Un apport en sodium
QCM 24
Parmi les entités cliniques suivantes, lesquelles ne peuvent pas être tenues pour responsables d’une véritable diarrhée chronique :
A
L’hyperthyroïdie
B
Les débâcles diarrhéiques sur fond de constipation
C
La maladie cœliaque
D
Les évacuations répétées du syndrome rectal
E
L’incontinence anale permanente isolée
QCM 25
Parmi les éléments sémiologiques suivants, le(s)quel(s) caractérise(nt) la diarrhée motrice :
A
Les selles sont d’horaire réparti sur le nycthémère
B
Les selles nocturnes sont fréquentes
C
La présence de résidus alimentaires non digérés est souvent notée par les patients
D
La perte de poids est fréquente
E
Un certain degré d’impériosité des selles est habituel
QCM 26
Les intoxications par toxines produites préalablement à l’ingestion des aliments peuvent être dues à :
A
Bacillus cereus
B
Salmonella typhi
C
Escherichia coli entéro-toxinogènes
D
Staphylococcus aureus
E
Candida albicans
QCM 27
Le risque de dissémination des infections alimentaires peut être réduit par : (3 bonnes réponses)
A
L’hygiène des mains
B
La filtration systématique de «l’eau du robinet» des circuits d’eaux municipaux dans les pays développés
C
Le respect des règles de conservation des aliments
D
Le respect des règles de préparation des aliments
E
L’achat des fruits et légumes en grandes surfaces
QCM 28
Les toxi-infections alimentaires collectives : (3 bonnes réponses)
A
Sont définies par au moins 10 cas groupés similaires d’épisodes digestifs dont on peut rapporter la cause à une même origine alimentaire
B
Doivent être déclarées aux autorités sanitaires
C
Peuvent être dues à Escherichia coli entéro-hémorragique
D
Sont en général véhiculées par l’eau
E
Peuvent faire courir un risque vital en fonction du germe et du terrain
QCM 29
Les diarrhées aiguës :
A
Sont définies par l’évacuation de plus de 4 selles liquides par jour depuis moins de deux semaines
B
Sont habituellement bénignes et résolutives en moins de trois jours
C
Représentent un motif de consultation très fréquent en médecine générale
D
Peuvent être graves en cas de déshydratation importante et dans le cas de germes et de terrains particuliers
E
Ne nécessitent pas dans la majorité des cas en première intention la prescription d’examens biologiques et de traitements anti-infectieux
QCM 30
Au cours d’une diarrhée aiguë, dans le(s)quel(s) de ces cas la réalisation d’examens biologiques est-elle nécessaire?
A
Diarrhée sous antibiotiques s’accompagnant de fièvre
B
Syndrome dysentérique
C
Fièvre inférieure à 38,5 °C et vomissements
D
Terrain de valvulopathie cardiaque opérée
E
Déshydratation sévère
QCM 31
Le traitement de toute diarrhée aiguë doit comporter :
A
Des antiseptiques intestinaux
B
Une réhydratation
C
Des apports alimentaires importants en glucose/amidon
D
Des apports alimentaires en sodium
E
Des conseils d’hygiène
QCM 32
Le contenu du kyste biliaire simple apparaît : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Parfaitement homogène
B
Parfaitement anéchogène avec un renforcement postérieur des échos à l’échographie
C
Hypodense sur les images de tomodensitométrie sans injection
D
Fortement hyperintense sur les séquences d’IRM pondérées en T2
E
Avec une paroi décelable avant et après injection de produit de contraste
QCM 33
L’adénome hépatocellulaire : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Le diagnostic nécessite toujours une biopsie hépatique
B
Est une tumeur bénigne
C
Elle est favorisée par la prise prolongée de contraceptifs oraux
D
Une transformation maligne est possible
E
Ne nécessite aucun suivi
QCM 34
L’hémangiome hépatique est : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Une tumeur bénigne
B
Très rare
C
Hyperéchogène à l’échographie
D
Parfois multiple
E
À surveiller dans tous les cas
QCM 35
Le carcinome hépatocellulaire : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Se développe presque toujours sur une maladie chronique du foie
B
Au cours de la cirrhose, l’incidence du carcinome hépatocellulaire est de l’ordre de 2 à 5% par an
C
Est vascularisé exclusivement par la veine porte
D
L’augmentation de l’alphafœtoprotéine est un marqueur très sensible et très spécifique de cette tumeur
E
Un taux d’alphafœtoprotéine > 50 ng/mL suggère fortement qu’un carcinome hépatocellulaire est présent
QCM 36
Les facteurs de risque du carcinome hépatocellulaire sont : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Le sexe féminin
B
L’âge
C
La durée d’évolution de la maladie du foie
D
Le diabète
E
L’alcool
QCM 37
Parmi ces critères, lesquels sont indispensables pour le diagnostic du carcinome hépatocellulaire quand on veut éviter la biopsie hépatique : (plusieurs réponses vraies)
A
La présence d’une cirrhose
B
Nodule de plus de 2cm
C
Rehaussement artériel du nodule à l’imagerie
D
Lavage ou «wash out» au temps portal
E
Élévation de l’alphafœtoprotéine
QCM 38
Parmi les cancers primitifs suivants lesquels sont en cause le plus souvent en cas de métastases hépatiques : (une seule bonne réponse)
A
Les cancers du sein
B
Les adénocarcinomes du tube digestif et du pancréas
C
Les carcinomes anaplasiques
D
Les mélanomes malins
E
Les tumeurs endocrines
QCM 39
En imagerie, les métastases hépatiques d’adénocarcinome digestif peuvent présenter les aspects suivants : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Nodules hypoéchogènes
B
Nodules hypodenses avant injection de produit de contraste
C
Peuvent prendre un aspect kystique
D
Généralement n’ont pas de paroi
QCM 40
L’ascite est riche en protéines (>25g/L) dans les cas suivants : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Cirrhose sans infection
B
Insuffisance cardiaque
C
Syndrome de Budd Chiari
D
Syndrome néphrotique
E
Tuberculose péritonéale
QCM 41
L’infection du liquide d’ascite : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Peut être découverte de manière fortuite par l’examen du liquide d’ascite sans signe d’appel
B
Le diagnostic est fait par le décompte des polynucléaires dans le liquide d’ascite > 250/mm3
C
Le diagnostic exige l’isolement d’une bactérie dans le liquide d’ascite
D
L’infection est souvent polymicrobienne
E
Le traitement nécessite une antibiothérapie associée à la perfusion d’albumine
QCM 42
Au cours de la tuberculose péritonéale, l’ascite : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Est généralement pauvre en protéine (< 25 g/L)
B
Est généralement riche en leucocytes (> 1 000/mm3)
C
Les lymphocytes y prédominent (>70%)
D
La recherche de BK est fréquemment positive à la culture de l’ascite
E
Le diagnostic est fait par la biopsie du péritoine sous cœlioscopie
QCM 43
Au cours de la carcinose péritonéale, l’ascite : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Est souvent riche en protéine (>25 g/L)
B
Le taux de leucocytes peut y être élevé (>250/mm3)
C
Les cellules tumorales sont constamment présentes à l’examen cytologique de l’ascite
D
Un syndrome d’obstruction intestinale incomplète est fréquent
QCM 44
Le mésothéliome péritonéal : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
Est favorisé par l’exposition aux benzènes
B
L’ascite est souvent riche en protéine (>25g/L)
C
Le taux de leucocytes peut y être élevé (>250/mm3)
D
Les cellules tumorales sont fréquemment présentes à l’examen cytologique du liquide d’ascite
QCM 45
Le dépistage organisé du cancer colorectal en France :
A
Repose sur la coloscopie pour tous à partir de 50 ans
B
S’adresse aux sujets présentant des symptômes digestifs ou évocateurs
C
Ne s’adresse qu’aux sujets à risque élevé ou très élevé de cancer colorectal
D
S’adresse à la population à risque moyen de cancer colorectal
E
Comporte la pratique d’un test de recherche de sang microscopique dans les selles suivi d’une coloscopie si le test est positif
QCM 46
Le syndrome de Lynch ou syndrome HNPCC (Hereditary Non Polyposis Colorectal Cancer) :
A
Représente environ 25% des cancers colorectaux
B
Est associé à une incidence élevée de cancers colorectaux familiaux au 1er degré et à un âge plus jeune que dans la population générale
C
Est caractérisé par une mutation constitutionnelle d’un des gènes MMR qui expose à un risque très élevé de cancer colique mais aussi d’autres organes (par exemple estomac, utérus chez la femme)
D
Est de transmission autosomique récessive
E
Est associé à la survenue de cancers ayant un phénotype instable (MSI ou dMMR)
QCM 47
Dans le cancer colique :
A
La survie à 5 ans d’environ 50% est indépendante du stade de la maladie
B
La coloscopie permet la recherche et l’ablation de polypes colorectaux éventuellement associés au cancer colique
C
La TDM (tomodensitométrie) thoraco-abdomino-pelvienne fait partie du bilan pré-thérapeutique indispensable
D
Le traitement curatif est chirurgical
E
La chimiothérapie n’a pas de place dans le traitement du cancer colique traité chirurgicalement
QCM 48
Dans le cancer du rectum :
A
La discussion en réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) sur la prise en charge thérapeutique intervient dès la période post-opératoire
B
L’IRM pelvienne est utile à la décision thérapeutique
C
La radiothérapie ou la radiochimiothérapie pre-opératoires n’ont plus de place depuis l’avènement de la chirurgie d’exérèse emportant le mésorectum avec la tumeur
D
L’existence d’une polypose adénomateuse colique familiale doit conduire à une coloprotectomie totale
E
La séquence adénome-cancer est exceptionnelle, le cancer survenant presque toujours de novo.
QCM 49
Un homme de 67 ans sans antécédent personnel ou familial est adressé en consultation de gastroentérologie par son médecin traitant pour rectorragies, faux besoins et ténesme. Parmi les examens complémentaires suivants, lesquels vous semblent adaptés à réaliser en première intention afin de permettre un diagnostic étiologique de certitude?
A
Test Hémoccult II®
B
Rectoscopie au tube rigide
C
Coloscopie
D
IRM pelvienne
E
Manométrie anorectale
QCM 50
Concernant la place des traitements péri-opératoires dans le cadre de la prise en charge du cancer colorectal, citez les propositions exactes :
A
Une chimiothérapie adjuvante est toujours indiquée pour un cancer du côlon droit opéré et classé pT3N0M0
B
Un traitement néo-adjuvant n’est jamais indiqué dans le cadre de la prise en charge d’un adénocarcinome du bas rectum
C
En l’absence de contre-indication, une chimiothérapie à base de 5-fluorouracile et d’oxaliplatine est indiquée pendant une durée de 6 mois après l’exérèse d’un cancer du sigmoïde de stade III
D
Dans le cadre de la prise en charge thérapeutique d’un cancer du côlon droit asymptomatique avec présence d’adénopathies locorégionales au scanner thoraco-abdomino-pelvien sans lésion suspecte à distance et en l’absence de contre-indication, une chimiothérapie néo-adjuvante comprenant un médicament anti-angiogénique est généralement indiquée avant la résection chirurgicale de la lésion
E
Dans le cadre de la prise en charge du cancer du rectum, la radio-chimiothérapie pré-opératoire, quand elle est indiquée, diminue significativement le risque de récidive locale comparée à l’absence de radio-chimiothérapie pré-opératoire
QCM 51
Laquelle ou lesquelles de ces affirmations sur le cancer gastrique est(sont)-elle(s) exacte(s)?
A
La cicatrisation sous IPP d’une lésion ulcérée gastrique permet de distinguer ulcère bénin et cancer ulcéré
B
L’atrophie et la métaplasie intestinale au cours de la gastrite chronique sont des lésions pré-cancéreuses
C
L’infection antrale par Helicobacter pylori protège contre le risque de cancer gastrique
D
L’adénocarcinome et le carcinome épidermoïde de l’estomac sont les 2 cancers les plus fréquents
E
Le diagnostic des tumeurs épithéliales gastriques repose sur l’écho-endoscopie avec biopsies
QCM 52
L’infection gastrique par Helicobacter pylori :
A
N’explique que 1% des cancers gastriques
B
N’est pas un facteur suffisant de carcinogénèse gastrique
C
Est un facteur reconnu de cancérogénèse gastrique (adénocarcinome)
D
Est également un facteur de survenue de lymphome gastrique du MALT
E
Doit être recherchée et traitée dans la famille au 1er degré des patients présentant un adénocarcinome gastrique
QCM 53
Les facteurs de risques de cancer de l’estomac sont :
A
Une alimentation riche en fibres
B
Une alimentation riche en sel
C
Des antécédents familiaux de cancer de l’estomac
D
Une infection chronique à Helicobacter pylori
E
Une atrophie gastrique avec métaplasie intestinale
QCM 54
Cancer de l’œsophage :
A
Tabac et alcool sont 2 facteurs de risque principaux du cancer épidermoïde
B
Reflux gastro-œsophagien et obésité sont 2 facteurs de risque de l’adénocarcinome
C
L’endobrachy-œsophage (EBO) est une lésion précancéreuse de l’adénocarcinome
D
La surveillance endoscopique des EBO a permis une nette diminution de la mortalité par adénocarcinome
E
La survie globale du cancer de l’œsophage est aujourd’hui d’environ 40% à 5 ans
QCM 55
Cancer de l’œsophage :
A
La dysphagie élective pour les liquides est le maître symptôme
B
Le diagnostic repose sur l’endoscopie avec biopsies
C
Le TEP scan au FDG est inutile si la TDM thoraco-abdomino-pelvienne ne montre pas de métastases
D
Le traitement endoscopique curatif est réservé à certaines petites tumeurs superficielles
E
La radiochimiothérapie exclusive ou pré-opératoire est indiquée dans les tumeurs localement avancées stade III
QCM 56
Le bilan pré-thérapeutique du cancer de l’œsophage comporte :
A
Une panendoscopie ORL
B
Une écho-endoscopie haute en cas de petite tumeur
C
Un scanner thoracique
D
Un scanner cérébral
E
Une évaluation de l’état général
QCM 57
L’adénocarcinome œsophagien :
A
Survient sur un terrain éthylo-tabagique
B
Peut compliquer un endobrachyœsophage
C
Peut être traité chirurgicalement s’il est métastatique
D
Peut être diagnostiqué par une coloscopie
E
Représente une proportion croissante des cancers de l’œsophage
QCM 58
Le carcinome épidermoïde œsophagien :
A
Est plus fréquent chez l’homme
B
Entraîne principalement une dysphagie
C
Ne peut être responsable d’une hémorragie digestive haute
D
Est toujours infranchissable en endoscopie
E
Ne peut pas être opéré en cas d’insuffisance respiratoire sévère
QCM 59
Quelles complications peuvent être observées lors de vomissements aigus chez l’adulte :
A
Rupture de l’œsophage
B
Déchirure du bas œsophage (syndrome de Mallory Weiss)
C
Insuffisance rénale
D
Dénutrition
E
Pneumopathie par inhalation
QCM 60
Traitement des vomissements chez l’adulte :
A
Une réhydratation en milieu hospitalier est parfois nécessaire
B
La pose d’une sonde d’aspiration gastrique nécessite une intubation trachéale préalable
C
Le traitement par antiémétiques doit être instauré quelle que soit la cause du vomissement
D
Les antiémétiques usuels comportent le métoclopramide, le dompéridone et la métopimazine
E
Les sétrons et l’aprépitant sont réservés au traitement des vomissements induits par les opiacés
QCM 61
Les vomissements peuvent se compliquer de :
A
Déshydratation extra et/ou intracellulaire
B
Alcalose respiratoire
C
Hématémèse
D
Hyperglycémie
E
Pneumopathie d’inhalation
QCM 62
Des vomissements matinaux en jet évoquent : (une seule réponse possible)
A
Un syndrome abdominal aigu
B
Un syndrome coronarien aigu
C
Une acido-cétose diabétique
D
Une hypertension intracrânienne
E
Une occlusion intestinale
QCM 63
Des vomissements fécaloïdes évoquent : (une seule réponse possible)
A
Un syndrome abdominal aigu
B
Un syndrome coronarien aigu
C
Une acido-cétose diabétique
D
Une hypertension intracrânienne
E
Une occlusion intestinale
QCM 64
Dans le cadre d’une douleur abdominale aiguë :
A
Le terrain et les comorbidités peuvent permettre d’orienter le diagnostic étiologique
B
Les affections gastriques et pancréato-biliaires sont plus fréquentes avant 30 ans
C
L’état général à l’admission du patient est une donnée très importante
D
Une douleur à la décompression élimine une irritation péritonéale
E
Un silence auscultatoire peut-être considéré comme un critère de gravité
QCM 65
Dans le cadre du diagnostic d’une douleur abdominale aiguë :
A
La numération formule sanguine et le ionogramme sanguin n’ont aucun intérêt
B
Une élévation de la lipasémie à plus de 3 fois la normale signe la pancréatite aiguë
C
La réalisation d’un électrocardiogramme doit être systématique
D
Le dosage des β-HCG n’a aucun intérêt
E
Une imagerie doit toujours être réalisée
QCM 66
Dans le cadre du diagnostic d’une douleur abdominale aiguë :
A
La radiographie d’abdomen sans préparation remplace avantageusement le scanner abdominal
B
La radiographie du thorax est utile pour éliminer une cause pleurale ou pulmonaire
C
L’échographie abdominale est l’examen de première intention en cas de syndrome occlusif
D
S’il est disponible, le scanner abdominal est l’examen radiologique de choix en cas de douleur abdominale aiguë inexpliquée
E
Le scanner est l’examen de première intention en cas de suspicion de diverticulite sigmoïdienne
QCM 67
Parmi ces affirmations laquelle ou lesquelles sont exactes?
A
Une péricardite peut se manifester par une douleur hypogastrique
B
Les douleurs de colique hépatique sont toujours localisées à l’hypochondre droit
C
Un ulcère perforé peut se révéler par une douleur de l’hypochondre droit
D
Une insuffisance surrénale aiguë peut se révéler par une douleur abdominale aiguë
E
Une contracture abdominale peut être observée au cours de la maladie périodique
QCM 68
La maladie hémorroïdaire :
A
Peut s’exprimer par les mêmes symptômes qu’un cancer du côlon ou du rectum
B
Doit toujours faire réaliser une coloscopie
C
En cas de thrombose hémorroïdaire, la douleur dure plus longtemps qu’en cas de crise hémorroïdaire simple
D
Le troisième trimestre de grossesse, l’accouchement et le post-partum immédiat sont des facteurs de risque de la survenue de symptômes hémorroïdaires
E
L’hémorragie hémorroïdaire est typiquement du sang noir mélangé aux matières
QCM 69
La maladie hémorroïdaire :
A
Les thromboses hémorroïdaires externes se présentent sous forme de tuméfactions douloureuses bleutées
B
La pathologie hémorroïdaire peut coexister avec la présence d’une fissure anale
C
Le diagnostic de la maladie hémorroïdaire repose sur les données de l’interrogatoire et de l’examen clinique
D
Le traitement médical repose sur les règles hygiéno-diététiques, la régularisation du transit, les veinotoniques et les topiques locaux
E
Les traitements instrumentaux et chirurgicaux constituent le traitement de fond le plus efficace de la maladie hémorroïdaire interne
QCM 70
Dans le cadre de la pathologie ulcéreuse gastro-duodénale :
A
L’infection à Helicobacter pylori est beaucoup plus fréquente dans les pays développés
B
L’incidence des ulcères gastroduodénaux est en augmentation dans les pays développés
C
Les AINS induisent une inhibition de la synthèse des prostaglandines pouvant favoriser la survenue d’ulcères gastriques
D
L’aspirine à faible dose n’a pas d’effet ulcérogène
E
L’ulcère duodénal du syndrome de Zollinger-Ellison est lié à une hypersécrétion acide induite par une inhibition de la gastrine
QCM 71
Dans le cadre du diagnostic de la maladie ulcéreuse gastro-duodénale :
A
La douleur de type ulcéreuse est toujours de siège épigastrique
B
L’endoscopie œsogastroduodénale permet la réalisation de biopsies antrales et fundiques à la recherche d’Helicobacter pylori quelle que soit la localisation de l’ulcère
C
Le diagnostic d’infection à Helicobacter pylori ne peut se faire que sur des biopsies gastriques
D
L’hémorragie digestive est la complication la plus fréquente des ulcères gastro-duodénaux
E
La prise d’AINS favorise le risque de perforation ulcéreuse
QCM 72
Dans le cadre du traitement de la maladie ulcéreuse gastro-duodénale :
A
L’éradication d’Helicobacter pylori a peu d’influence sur l’histoire naturelle de la maladie ulcéreuse
B
Le traitement d’éradication d’Helicobacter pylori repose sur une bithérapie d’une semaine associant un inhibiteur de la pompe à protons et un antibiotique
C
En cas d’ulcère duodénal un traitement d’une semaine est toujours suffisant
D
En cas d’ulcère gastrique, le traitement d’éradication d’Helicobacter pylori d’une semaine est systématiquement complété par 3 à 7 semaines supplémentaires d’inhibiteur de la pompe à protons
E
L’échec du traitement d’éradication de première ligne est estimé, en France, à 30%
QCM 73
Concernant les gastrites :
A
La gastrite est une entité histologique et non clinique ou endoscopique
B
Les gastrites à Helicobacter pylori concernent 20 à 50% de la population française
C
Les gastrites atrophiantes n’évoluent jamais vers la cancérisation
D
La gastrite à Helicobacter pylori n’évolue pas vers l’atrophie
E
La gastrite auto-immune est une gastrite hypertrophique
QCM 74
Anémie :
A
La symptomatologie fonctionnelle est liée à la vitesse d’installation de l’anémie
B
Une anémie par carence martiale est typiquement hypochrome microcytaire
C
Une thrombocytose modérée est souvent associée à l’anémie par carence martiale
D
La baisse de la ferritinémie est le critère le plus constant pour identifier la carence martiale
E
Le diagnostic de thalassémie est apporté par l’électrophorèse de l’hémoglobine
QCM 75
Devant une anémie ferriprive :
A
L’examen gynécologique fait partie du bilan de première intention
B
Le bilan endoscopique n’est réalisé qu’en deuxième intention
C
Dans le cadre d’un bilan d’anémie, la recherche de sang dans les selles par Hemoccult II® est fondamentale
D
Si l’endoscopie œsogastroduodénale n’identifie pas de lésions, elle doit comporter systématiquement des biopsies duodénales
E
La vidéocapsule endoscopique fait partie du bilan de première intention
QCM 76
Devant une anémie ferriprive :
A
La réalisation d’une vidéocapsule ne présente aucune contre-indication
B
L’entéroscopie est indiquée pour biopsier/traiter les lésions du grêle décelées par la vidéocapsule
C
Le scanner n’a aucune place dans le bilan d’une anémie
D
Un régime riche en fer est souvent suffisant pour traiter une carence martiale
E
La prise d’acide ascorbique augmente l’absorption du fer d’environ 30%
QCM 77
Concernant la transmission du virus de l’hépatite C, quelles sont les réponses vraies :
A
Le virus peut se transmettre par voie parentérale
B
Le virus peut se transmettre par voie aérienne
C
Le virus peut se transmettre par voie oro-fécale
D
La transmission peut être prévenue par la vaccination
E
La transmission peut être prévenue par des règles d’hygiène alimentaire
QCM 78
Devant une élévation des transaminases sériques, le diagnostic d’hépatite C repose sur : (une ou plusieurs propositions vraies)
A
La recherche d’anticorps anti-VHC par ELISA
B
La recherche d’ARN du VHC par PCR
C
La réalisation d’une biopsie hépatique
D
L’évaluation non invasive de la fibrose hépatique
E
La détermination du génotype viral
QCM 79
L’évaluation pré-thérapeutique d’une hépatite C chronique doit comprendre : (une ou plusieurs réponses vraies)
A
La détermination du génotype viral
B
La détermination de la charge virale
C
L’évaluation de la sévérité de l’hépatopathie par la biopsie hépatique ou des marqueurs non invasifs
D
La recherche de co-infections par le VHB ou le VIH
E
La recherche d’auto-anticorps
QCM 80
Concernant le traitement de l’hépatite C, quelles sont les propositions vraies :
A
Est le plus souvent très bien toléré (effets secondaires exceptionnels)
B
Est de courte durée (3 mois au maximum)
C
Peut éradiquer complètement l’infection virale
D
Dépend du génotype viral pour le choix des médicaments et la durée d’administration
E
Est pris en charge par la caisse d’assurance maladie dans le cadre des affections à longue durée
QCM 81
Quelles sont les complications possibles de l’hépatite C chronique?
A
Hépatite fulminante
B
Cirrhose
C
Carcinome hépatocellulaire
D
Vascularite par cryoglobulinémie
E
Spondylarthrite ankylosante
QCM 82
Concernant l’infection par le virus de l’hépatite B, quelles sont les propositions vraies?
A
Est très peu fréquente dans le monde
B
Peut se transmettre par voie sexuelle
C
Peut se prévenir par la vaccination
D
Est la principale cause de carcinome hépatocellulaire dans le monde
E
Peut être à l’origine d’une hépatite fulminante
QCM 83
L’histoire naturelle de l’hépatite B chronique se caractérise par : (une ou plusieurs propositions vraies)
A
Une progression obligée du portage chronique vers la cirrhose
B
La possibilité de réactivation spontanée de la réplication virale et de la maladie hépatique
C
La possibilité de survenue du carcinome hépatocellulaire en l’absence de cirrhose
D
La possibilité d’élimination virale complète
E
La possibilité de réactivation virale induite par un traitement immunosuppresseur, une chimiothérapie anti-cancéreuse, ou une biothérapie
QCM 84
Concernant le traitement de l’hépatite B chronique, quelles sont les propositions vraies?
A
Les analogues de nucléosides permettent d’obtenir une viro-suppression chez la majorité des patients
B
La viro-suppression induite par le traitement s’accompagne d’une amélioration des transaminases
C
La viro-suppression induite par le traitement s’accompagne d’une amélioration de l’histologie hépatique
D
Une élimination virale complète peut être obtenue avec l’interféron alpha ou les analogues de nucléosides
E
Le traitement antiviral prévient complètement l’apparition du carcinome hépatocellulaire
QCM 85
Devant des signes cliniques et biologiques d’hépatite aiguë, il faut rechercher : (une ou plusieurs propositions vraies)
A
Une hémochromatose génétique
B
Une maladie de Wilson
C
Une hépatite virale A
D
Une hépatite virale E
E
Une hépatite auto-immune
QCM 86
L’élévation isolée des gamma-GT : (une ou plusieurs propositions vraies)
A
Peut être due à une consommation excessive d’alcool
B
Peut être due à la prise de médicaments inducteurs enzymatiques
C
Signe une cholestase hépatique
D
Peut être due à une stéatose hépatique
E
Est un signe de gravité de l’hépatopathie
QCM 87
Devant des perturbations du bilan hépatique, quels sont les éléments qui vous font évoquer une stéatohépatite non alcoolique?
A
Une élévation de l’index de masse corporelle
B
L’association à une hypertension artérielle, un déséquilibre glycémique et une dyslipidémie
C
Un aspect hyperdense du foie à l’échographie abdominale
D
L’association à une hyperferritinémie
E
L’association à une hypergammaglobulinémie
QCM 88
La toxicité hépatique médicamenteuse : (une ou plusieurs propositions vraies)
A
Peut être liée à un terrain génétique particulier
B
Peut être d’origine immuno-allergique
C
Peut être à l’origine d’hépatites fulminantes
D
Peut évoluer vers des formes d’hépatopathie chronique
E
Doit toujours être confirmée par un test de réintroduction du médicament suspecté
QCM 89
Le diagnostic d’hémochromatose génétique : (une ou plusieurs propositions vraies)
A
Doit être évoqué devant une élévation de la saturation de la transferrine
B
Peut s’associer à une élévation de la ferritinémie et du fer sérique
C
S’accompagne d’une polyglobulie
D
Doit s’accompagner d’un diagnostic génétique pour la recherche de mutations dans le gène HFE
E
Une enquête familiale doit être réalisée car il s’agit d’une maladie autosomale dominante
QCM 90
Concernant l’hémochromatose génétique, quelles sont les propositions vraies?
A
La surcharge hépatique en fer peut se quantifier par échographie abdominale
B
La surcharge hépatique en fer doit être quantifiée par IRM hépatique
C
L’hémochromatose peut se compliquer d’une cirrhose et d’un carcinome hépatocellulaire
D
L’hémochromatose peut se compliquer d’un diabète non insulino-dépendant
E
L’hémochromatose peut se compliquer d’une myocardiopathie
QCM 91
Le traitement de l’hémochromatose génétique : (une ou plusieurs propositions vraies)
A
Son objectif est d’obtenir une normalisation rapide du taux de saturation de la transferrine
B
Son objectif est d’obtenir une disparition de la surcharge hépatique en fer
C
Le traitement de première intention repose sur des chélateurs du fer
D
Le traitement de première intention repose sur des phlébotomies
E
Le traitement actuel repose sur une thérapie génique
QCM 92
Devant une hépatomégalie nodulaire, quelles causes peuvent être évoquées? (une ou plusieurs propositions vraies)
A
Une échinococcose alvéolaire
B
Une amibiase hépatique
C
Un paludisme chronique
D
Un carcinome hépatocellulaire
E
Des métastases d’un adénocarcinome colique
QCM 93
La dépendance physique peut se définir par :
A
Des épisodes répétés d’ivresse
B
Une dysarthrie lors de la consommation d’alcool
C
Syndrome de sevrage
D
Une incapacité de réduire sa consommation et une obligation comportementale
E
La prise d’une autre substance pour soulager ou éviter les symptômes de sevrage
QCM 94
Parmi ces affirmations sur la consommation excessive d’alcool laquelle ou lesquelles sont exactes?
A
La grande majorité des décès prématurés dus à l’alcool concerne des personnes dépendantes
B
Le repérage précoce des consommateurs d’alcool à risque se fait essentiellement par l’entretien (questionnaires), plus que par les examens biologiques
C
L’intervention brève s’adresse aux consommateurs à risque non alcoolo-dépendants
D
L’intervention brève est efficace chez 50% des consommateurs à risque alcoolo-dépendants
E
Les principales complications du sevrage alcoolique sont le delirium tremens et les convulsions
QCM 95
Au moment de la renutrition d’un dénutri, la carence en l’un de ces éléments faire courir un risque vital («refeeding syndrome»). De quel élément s’agit-il?
A
Potassium
B
Magnésium
C
Calcium
D
Phosphore
E
Vitamine E
QCM 96
Le(s)quel(s) de ces aliments est(sont) interdits au cours d’un régime sans gluten?
A
Pâtes alimentaires
B
Riz
C
Bière
D
Muesli
E
Maïzena
QCM 97
Parmi les affections générales suivantes qui peuvent se révéler par des douleurs abdominales aiguës, laquelle ou lesquelles sont constamment accompagnées de fièvre ou au minimum d’un syndrome inflammatoire biologique?
A
Insuffisance surrénale aiguë
B
Hypercalcémie
C
Acidocétose diabétique
D
Maladie périodique
E
Porphyries hépatiques
QCM 98
Un homme de 57 ans consulte pour : douleur épigastrique brutale et nausées. Vous constatez un météorisme abdominal et le malade signale un arrêt des matières et des gaz. Laquelle ou lesquelles de ces affirmations sont exactes?
A
Vous suspectez une migration lithiasique
B
Vous suspectez une occlusion
C
Vous examinez les orifices herniaires
D
Vous réalisez un toucher rectal
E
Vous adressez ce malade aux urgences
QCM 99
Chez un malade en occlusion du grêle vous constatez habituellement sur le TDM :
A
Un niveau hydro-aérique unique
B
Des niveaux hydro-aériques plus larges que hauts
C
Des niveaux hydro-aériques plus hauts que larges
D
De fines incisures allant d’un bord à l’autre de l’intestin dilaté
E
De larges incisures asymétriques n’allant pas d’un bord à l’autre du côlon dilaté
QCM 100
Un homme de 67 ans diabétique consulte pour vomissements et douleurs abdominales intenses; l’examen est normal hormis une hernie inguinale droite connue depuis 3 ans et irréductible.
A
Vous suspectez en premier lieu une acidocétose
B
Vous suspectez en premier lieu une hypoglycémie
C
Vous appelez un chirurgien pour hernie étranglée
D
Vous prescrivez un jeûne et une perfusion
E
Vous surveillez la glycémie
QCM 101
En cas de péritonite :
A
La contracture est parfois absente
B
Les trois causes les plus fréquentes sont : ulcère perforé, la cholécystite compliquée et la perforation de diverticule sigmoïdien
C
En cas de perforation d’ulcère gastrique ou duodénal, le pneumopéritoine est fréquent
D
En cas de péritonite diverticulaire, le pneumopéritoine est souvent volumineux
E
En cas de péritonite appendiculaire, il n’existe pas de pneumopéritoine


Réponses

QCM 1
Vrai : A, D, E
QCM 2
Vrai : B, C
QCM 3
Vrai : B, E
QCM 4
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QCM 6
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QCM 7
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QCM 10
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QCM 11
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