Selon Tardieu [24]24TardieuGDéfinition de l'IMC et de ses limitesLes feuillets de l'IMCIB196914

Cliquez ici pour aller à la section Références trois critères sont indispensables pour parler d'infirmité motrice cérébrale (IMC) :

présence d'une lésion responsable de l'infirmité ;

prédominance de l'infirmité motrice (l'efficience intellectuelle étant en général normale) ;

troubles moteurs non évolutifs (alors que les troubles ostéoarticulaires le sont).

L'association d'un trouble moteur (toujours prédominant) à des troubles sensitifs, sensoriels, psychologiques, explique la fréquente complexité du tableau clinique et les différentes prises en charge qui en résultent (kinésithérapie, orthophonie...).

Différents travaux [18]18Millan R, Hoegen M. Les fonctions du système visuo-moteur. Approche développementale et appliquée. « Les basses visions ». Actualités sur la rééducation de la vision fonctionnelle. Ambarès : CSES Alfred Peyrelongues, 1994

Cliquez ici pour aller à la section Références soulignent le rôle de la vision dans le contrôle de la stabilité posturale. Ceci est encore plus manifeste chez l'enfant IMC. Aussi est-il important de dépister précocement les troubles oculomoteurs (dont la fréquence n'est plus à démontrer), pour en assurer dès que possible la rééducation orthoptique.

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