Incretins: What is known, new and controversial in 2013? - 09/04/13
The European Club for the study of GLP-1 (EuCSGLP-1)1
Abstract |
Glucagon-like peptide (GLP)-1 action involves both endocrine and neural pathways to control peripheral tissues. In diabetes the impairment of either pathway may define different subsets of patients: some may be better treated with GLP-1 receptor agonists that are more likely to directly stimulate beta-cells and extrapancreatic receptors, while others may benefit from dipeptidyl peptidase (DPP)-4 inhibitor treatments that are more likely to increase the neural gut–brain–pancreas axis. Elevated plasma concentrations of GLP-1 associated with agonist treatment or bariatric surgery also appear to exert neuroprotective effects, ameliorate postprandial and fasting lipids, improve heart physiology and protect against heart failure, thereby expanding the possible positioning of GLP-1-based therapies. However, the mechanisms behind GLP-1 secretion, the role played by proximal and distal intestinal GLP-1-producing cells as well as the molecular basis of GLP-1 resistance in diabetes are still to be ascertained. The pharmacological features distinguishing GLP-1 receptor agonists from DPP-4 inhibitors are discussed here to address their respective positions in type 2 diabetes.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Nous confirmons que l’action du GLP-1 est endocrine et neurologique. Cette dernière action définie l’axe intestin-cerveau-périphérie. Leurs influences respectives sur la glycémique et altération au cours du diabète conduiraient à des actes thérapeutiques propres puisque les inhibiteurs DPP4 recruteraient préférentiellement l’axe nerveux alors que les agonistes agiraient directement sur les récepteurs des cellules béta-pancréatiques et extra-pancréatiques. La forte concentration sanguine en agoniste atteinte lors des traitements ou par le GLP-1 natif lors de chirurgies bariatriques serait à l’origine du contrôle des lipides et de la protection cardiocérébrale récemment identifiée, suggérant un positionnement sur les risques cardiovasculaires et neurologiques. Les mécanismes de la sécrétion des incretines par l’intestin proximal et distal ainsi que les mécanismes du dysfonctionnement du GIP au cours du diabète ont été rediscutées. Les positionnements différentiels des agonistes du récepteur au GLP-1 et des DPP4i furent discutés en fonction des caractéristiques physiopathologiques des patients diabétiques de type 2.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Incretins, Autonomic nervous system, DPP4, Heart, GIP
Mots clés : Incretines, Système nerveux autonome, DPP4, Cœur, GIP
Plan
Vol 39 - N° 2
P. 89-93 - avril 2013 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.