Lymphomes non hodgkiniens des transplantés - 01/01/94
[13-016-K-20]
Françoise Berger : Maître de conférences des Universités, praticien hospitalier
Henri-Jacques Delecluse : Assistant hospitalo-universitaire
Laboratoire central d'anatomie et de cytologie pathologiques, hôpital Edouard-Herriot, 5, place d'Arsonval, 69437 Lyon cedex 03 France
Laboratoire central d'anatomie et de cytologie pathologiques, hôpital Edouard-Herriot, 5, place d'Arsonval, 69437 Lyon cedex 03 France
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, publié initialement dans le traité EMC Hématologie
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Résumé |
L'incidence des cancers (6 %) chez les patients recevant un traitement immunosuppresseur après une transplantation allogénique est 100 fois supérieure à celle qui est observée dans la population générale [16]. Les lymphomes représentent 21 % de ces cancers, les autres tumeurs les plus fréquentes étant des carcinomes (peau, lèvre, vulve, rein) et le sarcome de Kaposi.
La fréquence relative des lymphomes est variable selon l'organe greffé : moelle osseuse : 0,6 %, rein : 1 %, foie : 2 %, coeur et (ou) poumons : 4 à 7 % [13].
Plan
© 1994
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- Aspects morphologiques des cellules sanguines normales
- E. Cornet, X. Troussard
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