Marqueurs biologiques de rupture prématurée des membranes - 05/02/14
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La rupture prématurée des membranes (RPM) correspond à la perte d'intégrité de la poche des eaux avant l'entrée en travail. Il s'agit d'un motif fréquent de consultation surtout à partir de 34 semaines d'aménorrhée (SA). Avant 34 SA, l'expectative est la prise en charge la plus communément admise tandis qu'au-delà de 37 SA, le choix se porte le plus souvent vers un déclenchement du travail dans un délai de 12 à 24 heures. Le clinicien doit donc être en mesure de porter le diagnostic de RPM à bon escient. La forme clinique typique occasionne un écoulement franc de liquide amniotique mais les situations ambiguës sont fréquentes justifiant le recours à des tests biologiques. De nombreux marqueurs biologiques ont été étudiés. À ce jour, les performances du pH (sensibilité et spécificité) apparaissent moindres que celles observées avec les tests immunochromatographiques faisant appel à l'insulin-like growth factor-binding protein-1 (IGFBP-1) ou à la placental alpha microglobulin-1 (PAMG-1). Les développements actuels s'orientent vers d'autres marqueurs ou vers des approches fondées sur le couplage de plusieurs marqueurs.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Rupture des membranes, Diagnostic, Insulin-like growth factor-binding protein-1, Placental alpha microglobulin-1, Alphafœtoprotéine
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