Candidoses et autres levuroses - 25/03/14
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Résumé |
Les candidoses cutanéomuqueuses sont très répandues. Candida albicans, levure saprophyte des muqueuses de l'homme, est l'espèce la plus souvent impliquée. Le passage de l'état de saprophyte à celui de pathogène est sous l'influence de facteurs locaux et généraux bien identifiés. Si les traitements des formes habituelles sont bien établis, celui des formes récidivantes est plus délicat. Dans tous les cas, les facteurs favorisants doivent être corrigés. À l'autre bout du spectre clinique, les candidoses profondes sont des infections au pronostic redoutable survenant chez de patients hospitalisés en chirurgie viscérale, réanimation, oncologie et hématologie. Les examens biologiques visent alors à améliorer un diagnostic précoce, identifier l'espèce en cause et tester sa sensibilité aux antifongiques. Des progrès notables ont été accomplis ces dernières années dans ce domaine permettant une mise en œuvre plus rapide du traitement. Toutes les nouvelles méthodes visant à détecter des marqueurs biologiques et métaboliques fongiques ne sont pas encore de pratique courante, certaines sont encore en cours d'évaluation. L'épidémiologie des candidoses profondes est en modification constante et des recommandations d'experts sont publiées régulièrement pour adapter les thérapeutiques à ces modifications selon les différentes populations à risque.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Candida spp., Épidémiologie des candidoses, Clinique des candidoses, Diagnostic biologique des candidoses, Thérapeutique des candidoses
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