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An evaluation of French amniote diversity through the Pennsylvanian-Cisuralian boundary - 20/05/14

Doi : 10.1016/j.annpal.2013.12.004 
Jocelyn Falconnet
 UMR 7207 CNRS, UPMC, MNHN, Département Histoire de la Terre, CR2P, Museum national d’Histoire naturelle, CP 38, 57, rue Cuvier, 75231 Paris cedex 05, France 

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Abstract

Amniotes are rare in Late Carboniferous strata, especially in Europe, and despite a global diversification. They are generally more common in Lower Permian deposits. The French record around the Pennsylvanian-Cisuralian boundary is therefore re-examined. Each basin which yielded amniote remains is provided with general data on its sedimentology, stratigraphy, dating, and palaeontological content. Seven specimens are reported, of which five are synapsids and two are reptiles, each of them being a holotype. Their respective age is reassessed. The use of the regional Stephanian and Autunian stages is discussed, but their traditional sense is retained. There is currently no amniote in the Stephanian sensu stricto (=Early Gzhelian) of France. The Stephanian-Autunian Transitional Zone (=Late Gzhelian) contains the unique amniote Stereorachis blanziacensis. The Autunian sensu stricto (=Asselian) contains five, Stereorachis dominans, Haptodus baylei, Callibrachion gaudryi, Belebey augustodunensis, and Aphelosaurus lutevensis. Finally, Neosaurus cynodus can be assigned either to the Transitional Zone or to the Autunian sensu stricto. The amniote diversity increases through the Pennsylvanian-Cisuralian boundary. Despite the low number of specimens, the French record is representative of the global evolution of amniotes.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Résumé

Les amniotes sont rares dans les strates supracarbonifères, surtout en Europe, et ce malgré une diversification globale. Ils sont en général plus communs dans les dépôts infrapermiens. Le registre français autour de la limite Pennsylvanien-Cisouralien est donc réexaminé. Des données générales sur la sédimentologie, la stratigraphie, les datations et le contenu paléontologique sont fournies pour chaque bassin ayant livré des restes d’amniotes. Sept spécimens sont reportés, dont cinq synapsides et deux reptiles, chacun d’eux étant un holotype. Leur âge respectif est revu. L’usage des étages régionaux Stéphanien et Autunien est discuté, mais leur sens traditionnel est conservé. Il n’y a actuellement pas d’amniote dans le Stéphanien sensu stricto (=Gzhélien inférieur) de France. La Zone de Transition Stéphanien-Autunien (=Gzhélien supérieur) contient l’unique amniote Stereorachis blanziancensis. L’Autunien sensu stricto (=Assélien) en contient cinq, Stereorachis dominans, Haptodus baylei, Callibrachion gaudryi, Belebey augustodunensis et Aphelosaurus lutevensis. Enfin, Neosaurus cynodus peut être assigné soit à la Zone de Transition soit à l’Autunien sensu stricto. La diversité des amniotes croît à travers la limite Pennsylvanien-Cisouralien. Malgré le faible nombre de spécimens, le registre français est représentatif de l’évolution globale des amniotes.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Keywords : Amniota, Biodiversity, Biostratigraphy, France, Pennsylvanian, Cisuralian, Stephanian, Autunian

Mots clés : Amniota, Biodiversité, Biostratigraphie, France, Pennsylvanien, Cisouralien, Stéphanien, Autunien


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Vol 100 - N° 2

P. 119-130 - avril 2014 Retour au numéro
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