Toxicité rénale des produits de contraste non iodés - 21/08/14
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L'essor des techniques de radiologie interventionnelle conduit à exposer régulièrement les patients au potentiel néphrotoxique des produits de contraste iodés. Face à ce risque de néphrotoxicité, les produits de contraste à base de gadolinium pour rehausser l'imagerie à résonance magnétique ont longtemps été considérés comme une alternative sécurisante aux produits de contraste iodés, en particulier chez les sujets sensibles ou à risque. Cependant, ils sont eux-mêmes non dénués de néphrotoxicité et présentent un nouveau risque, dont la physiopathologie est également liée à l'insuffisance rénale, qui est la fibrose systémique néphrogénique. Les recommandations européennes et américaines des agences de santé se sont rapprochées récemment, définissant des groupes de patients à risque de fibrose systémique néphrogénique en fonction de leur niveau de fonction rénale et du type de produit de contraste à base de gadolinium utilisé. Quels sont les réels risques rénaux encourus face à ces produits ? Comment évaluer la balance bénéfice-risque du patient pour lui choisir un examen radiologique, informatif, efficace et sûr ? Cet article s'attache à la description des risques liés aux produits de contraste à base de gadolinium, fait le point sur les recommandations et les bonnes pratiques existantes afin de guider le choix des cliniciens.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Toxicité, Produits de contraste, Insuffisance rénale, Gadolinium, Fibrose systémique néphrogénique, Recommandations
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