Une équipe de chercheurs du laboratoire "Signalisation intracellulaire et mort neuronale" de l'UMR 146 du CNRS à l'Institut Curie, menée par Frédéric Saudou, vient de mettre en évidence la capacité de deux messagers protéiques de bloquer la mort neuronale à l'origine de la maladie de Huntington. Cette avancée dans la compréhension des mécanismes de cette affection neurodégénérative suscite un espoir non seulement dans cette pathologie, mais aussi dans les cancers et d'autres maladies neurovégétatives telles celles d'Alzheimer et de Parkinson.